Étiquette : Psaume 142

Jacques 2.1-13

1Mes frères, que votre foi en notre glorieux Seigneur Jésus-Christ soit exempte de toute acception de personnes. 2Supposez, en effet, qu’il entre dans votre assemblée un homme avec un anneau d’or et un habit magnifique, et qu’il y entre aussi un pauvre misérablement vêtu; 3si, tournant vos regards vers celui qui porte l’habit magnifique, vous lui dites: Toi, assieds-toi ici à cette place d’honneur! et si vous dites au pauvre: Toi, tiens-toi là debout! ou bien: Assieds-toi au-dessous de mon marchepied! 4ne faites-vous pas en vous-mêmes une distinction, et ne jugez-vous pas sous l’inspiration de pensées mauvaises? 5Ecoutez, mes frères bien-aimés: Dieu n’a-t-il pas choisi les pauvres aux yeux du monde, pour qu’ils soient riches en la foi, et héritiers du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment? 6Et vous, vous avilissez le pauvre! Ne sont-ce pas les riches qui vous oppriment, et qui vous traînent devant les tribunaux? 7Ne sont-ce pas eux qui outragent le beau nom que vous portez?

8Si vous accomplissez la loi royale, selon l’Ecriture: Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. 9Mais si vous faites acception de personnes, vous commettez un péché, vous êtes condamnés par la loi comme des transgresseurs. 10Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. 11En effet, celui qui a dit: Tu ne commettras point d’adultère, a dit aussi: Tu ne tueras point. Or, si tu ne commets point d’adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi. 12Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté, 13car le jugement est sans miséricorde pour qui n’a pas fait miséricorde. La miséricorde triomphe du jugement.

Psaume 142

1Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. De ma voix je crie à l’Eternel, De ma voix j’implore l’Eternel.

2Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4Jette les yeux à droite, et regarde! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5Eternel! c’est à toi que je crie. Je dis: Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.

6Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.

7Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

Genèse 39.1-23

1On fit descendre Joseph en Egypte; et Potiphar, officier de Pharaon, chef des gardes, Egyptien, l’acheta des Ismaélites qui l’y avaient fait descendre. 2L’Eternel fut avec lui, et la prospérité l’accompagna; il habitait dans la maison de son maître, l’Egyptien. 3Son maître vit que l’Eternel était avec lui, et que l’Eternel faisait prospérer entre ses mains tout ce qu’il entreprenait. 4Joseph trouva grâce aux yeux de son maître, qui l’employa à son service, l’établit sur sa maison, et lui confia tout ce qu’il possédait. 5Dès que Potiphar l’eut établi sur sa maison et sur tout ce qu’il possédait, l’Eternel bénit la maison de l’Egyptien, à cause de Joseph; et la bénédiction de l’Eternel fut sur tout ce qui lui appartenait, soit à la maison, soit aux champs. 6Il abandonna aux mains de Joseph tout ce qui lui appartenait, et il n’avait avec lui d’autre soin que celui de prendre sa nourriture. Or, Joseph était beau de taille et beau de figure. 7Après ces choses, il arriva que la femme de son maître porta les yeux sur Joseph, et dit: Couche avec moi! 8Il refusa, et dit à la femme de son maître: Voici, mon maître ne prend avec moi connaissance de rien dans la maison, et il a remis entre mes mains tout ce qui lui appartient. 9Il n’est pas plus grand que moi dans cette maison, et il ne m’a rien interdit, excepté toi, parce que tu es sa femme. Comment ferais-je un aussi grand mal et pécherais-je contre Dieu? 10Quoiqu’elle parlât tous les jours à Joseph, il refusa de coucher auprès d’elle, d’être avec elle. 11Un jour qu’il était entré dans la maison pour faire son ouvrage, et qu’il n’y avait là aucun des gens de la maison, 12elle le saisit par son vêtement, en disant: Couche avec moi! Il lui laissa son vêtement dans la main, et s’enfuit au dehors.

13Lorsqu’elle vit qu’il lui avait laissé son vêtement dans la main, et qu’il s’était enfui dehors, 14elle appela les gens de sa maison, et leur dit: Voyez, il nous a amené un Hébreu pour se jouer de nous. Cet homme est venu vers moi pour coucher avec moi; mais j’ai crié à haute voix. 15Et quand il a entendu que j’élevais la voix et que je criais, il a laissé son vêtement à côté de moi et s’est enfui dehors. 16Et elle posa le vêtement de Joseph à côté d’elle, jusqu’à ce que son maître rentrât à la maison. 17Alors elle lui parla ainsi: L’esclave hébreu que tu nous as amené est venu vers moi pour se jouer de moi. 18Et comme j’ai élevé la voix et que j’ai crié, il a laissé son vêtement à côté de moi et s’est enfui dehors.

19Après avoir entendu les paroles de sa femme, qui lui disait: Voilà ce que m’a fait ton esclave! le maître de Joseph fut enflammé de colère. 20Il prit Joseph, et le mit dans la prison, dans le lieu où les prisonniers du roi étaient enfermés: il fut là, en prison. 21L’Eternel fut avec Joseph, et il étendit sur lui sa bonté. Il le mit en faveur aux yeux du chef de la prison. 22Et le chef de la prison plaça sous sa surveillance tous les prisonniers qui étaient dans la prison; et rien ne s’y faisait que par lui. 23Le chef de la prison ne prenait aucune connaissance de ce que Joseph avait en main, parce que l’Eternel était avec lui. Et l’Eternel donnait de la réussite à ce qu’il faisait.

Psaume 142

1Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. De ma voix je crie à l’Eternel, De ma voix j’implore l’Eternel.

2Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4Jette les yeux à droite, et regarde! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5Eternel! c’est à toi que je crie. Je dis: Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.

6Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.

7Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

Esther 9.1-19

1Au douzième mois, qui est le mois d’Adar, le treizième jour du mois, jour où devaient s’exécuter l’ordre et l’édit du roi, et où les ennemis des Juifs avaient espéré dominer sur eux, ce fut le contraire qui arriva, et les Juifs dominèrent sur leurs ennemis. 2Les Juifs se rassemblèrent dans leurs villes, dans toutes les provinces du roi Assuérus, pour mettre la main sur ceux qui cherchaient leur perte; et personne ne put leur résister, car la crainte qu’on avait d’eux s’était emparée de tous les peuples. 3Et tous les chefs des provinces, les satrapes, les gouverneurs, les fonctionnaires du roi, soutinrent les Juifs, à cause de l’effroi que leur inspirait Mardochée. 4Car Mardochée était puissant dans la maison du roi, et sa renommée se répandait dans toutes les provinces, parce qu’il devenait de plus en plus puissant. 5Les Juifs frappèrent à coups d’épée tous leurs ennemis, ils les tuèrent et les firent périr; ils traitèrent comme il leur plut ceux qui leur étaient hostiles. 6Dans Suse, la capitale, les Juifs tuèrent et firent périr cinq cents hommes, 7et ils égorgèrent Parschandatha, Dalphon, Aspatha, 8Poratha, Adalia, Aridatha, 9Parmaschtha, Arizaï, Aridaï et Vajezatha, 10les dix fils d’Haman, fils d’Hammedatha, l’ennemi des Juifs. Mais ils ne mirent pas la main au pillage.

11Ce jour-là, le nombre de ceux qui avaient été tués dans Suse, la capitale, parvint à la connaissance du roi.

12Et le roi dit à la reine Esther: Les Juifs ont tué et fait périr dans Suse, la capitale, cinq cents hommes et les dix fils d’Haman; qu’auront-ils fait dans le reste des provinces du roi? Quelle est ta demande? Elle te sera accordée. Que désires-tu encore? Tu l’obtiendras. 13Esther répondit: Si le roi le trouve bon, qu’il soit permis aux Juifs qui sont à Suse d’agir encore demain selon le décret d’aujourd’hui, et que l’on pende au bois les dix fils d’Haman. 14Et le roi ordonna de faire ainsi. L’édit fut publié dans Suse. On pendit les dix fils d’Haman; 15et les Juifs qui se trouvaient à Suse se rassemblèrent de nouveau le quatorzième jour du mois d’Adar et tuèrent dans Suse trois cents hommes. Mais ils ne mirent pas la main au pillage.

16Les autres Juifs qui étaient dans les provinces du roi se rassemblèrent et défendirent leur vie; ils se procurèrent du repos en se délivrant de leurs ennemis, et ils tuèrent soixante-quinze mille de ceux qui leur étaient hostiles. Mais ils ne mirent pas la main au pillage. 17Ces choses arrivèrent le treizième jour du mois d’Adar. Les Juifs se reposèrent le quatorzième, et ils en firent un jour de festin et de joie.

18Ceux qui se trouvaient à Suse, s’étant rassemblés le treizième jour et le quatorzième jour, se reposèrent le quinzième, et ils en firent un jour de festin et de joie. 19C’est pourquoi les Juifs de la campagne, qui habitent des villes sans murailles, font du quatorzième jour du mois d’Adar un jour de joie, de festin et de fête, où l’on s’envoie des portions les uns aux autres.

Psaume 142

1Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. De ma voix je crie à l’Eternel, De ma voix j’implore l’Eternel.

2Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4Jette les yeux à droite, et regarde! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5Eternel! c’est à toi que je crie. Je dis: Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.

6Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.

7Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

Hébreux 11.32-40

32Et que dirai-je encore? Car le temps me manquerait pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel, et des prophètes, 33qui, par la foi, vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, obtinrent des promesses, fermèrent la gueule des lions, 34teignirent la puissance du feu, échappèrent au tranchant de l’épée, guérirent de leurs maladies, furent vaillants à la guerre, mirent en fuite des armées étrangères. 35Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d’autres furent livrés aux tourments, et n’acceptèrent point de délivrance, afin d’obtenir une meilleure résurrection; 36d’autres subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la prison; 37ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l’épée, ils allèrent çà et là vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités, 38eux dont le monde n’était pas digne, errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre.39Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n’ont pas obtenu ce qui leur était promis, 40Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu’ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection.

Psaume 142

1Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. De ma voix je crie à l’Eternel, De ma voix j’implore l’Eternel.

2Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4Jette les yeux à droite, et regarde! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5Eternel! c’est à toi que je crie. Je dis: Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.
6Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.

7Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

Néhémie 6.1 – 7.3

1Je n’avais pas encore posé les battants des portes, lorsque Sanballat, Tobija, Guéschem, l’Arabe, et nos autres ennemis apprirent que j’avais rebâti la muraille et qu’il n’y restait plus de brèche. 2Alors Sanballat et Guéschem m’envoyèrent dire : Viens, et ayons ensemble une entrevue dans les villages de la vallée d’Ono. Ils avaient médité de me faire du mal. 3Je leur envoyai des messagers avec cette réponse : J’ai un grand ouvrage à exécuter, et je ne puis descendre ; le travail serait interrompu pendant que je le quitterais pour aller vers vous. 4Ils m’adressèrent quatre fois la même demande, et je leur fis la même réponse. 5Sanballat m’envoya ce message une cinquième fois par son serviteur, qui tenait à la main une lettre ouverte. 6Il y était écrit: Le bruit se répand parmi les nations et Gaschmu affirme que toi et les Juifs vous pensez à vous révolter, et que c’est dans ce but que tu rebâtis la muraille. Tu vas, dit-on, devenir leur roi, 7tu as même établi des prophètes pour te proclamer à Jérusalem roi de Juda. Et maintenant ces choses arriveront à la connaissance du roi. Viens donc, et consultons-nous ensemble. 8Je fis répondre à Sanballat : Ce que tu dis là n’est pas ; c’est toi qui l’inventes ! 9Tous ces gens voulaient nous effrayer, et ils se disaient: Ils perdront courage, et l’œuvre ne se fera pas. Maintenant, ô Dieu, fortifie-moi!
10Je me rendis chez Schemaeja, fils de Delaja, fils de Mehétabeel. Il s’était enfermé, et il dit : Allons ensemble dans la maison de Dieu, au milieu du temple, et fermons les portes du temple ; car ils viennent pour te tuer, et c’est pendant la nuit qu’ils viendront pour te tuer. 11Je répondis : Un homme comme moi prendre la fuite ! Et quel homme tel que moi pourrait entrer dans le temple et vivre ? Je n’entrerai point. 12Et je reconnus que ce n’était pas Dieu qui l’envoyait. Mais il prophétisa ainsi sur moi parce que Sanballat et Tobija lui avaient donné de l’argent. 13En le gagnant ainsi, ils espéraient que j’aurais peur, et que je suivrais ses avis et commettrais un péché; et ils auraient profité de cette atteinte à ma réputation pour me couvrir d’opprobre. 14Souviens-toi, ô mon Dieu, de Tobija et de Sanballat, et de leurs oeuvres! Souviens-toi aussi de Noadia, la prophétesse, et des autres prophètes qui cherchaient à m’effrayer!
15La muraille fut achevée le vingt-cinquième jour du mois d’Elul, en cinquante-deux jours. 16Lorsque tous nos ennemis l’apprirent, toutes les nations qui étaient autour de nous furent dans la crainte; elles éprouvèrent une grande humiliation, et reconnurent que l’oeuvre s’était accomplie par la volonté de notre Dieu. 17Dans ce temps-là, il y avait aussi des grands de Juda qui adressaient fréquemment des lettres à Tobija et qui en recevaient de lui. 18Car plusieurs en Juda étaient liés à lui par serment, parce qu’il était gendre de Schecania, fils d’Arach, et que son fils Jochanan avait pris la fille de Meschullam, fils de Bérékia. 19Ils disaient même du bien de lui en ma présence, et ils lui rapportaient mes paroles. Tobija envoyait des lettres pour m’effrayer.

 

1Lorsque la muraille fut rebâtie et que j’eus posé les battants des portes, on établit dans leurs fonctions les portiers, les chantres et les Lévites. 2Je donnai mes ordres à Hanani, mon frère, et à Hanania, chef de la citadelle de Jérusalem, homme supérieur au grand nombre par sa fidélité et par sa crainte de Dieu. 3Je leur dis: Les portes de Jérusalem ne s’ouvriront pas avant que la chaleur du soleil soit venue, et l’on fermera les battants aux verrous en votre présence; les habitants de Jérusalem feront la garde, chacun à son poste devant sa maison.

Psaume 142

1Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. De ma voix je crie à l’Eternel, De ma voix j’implore l’Eternel.

2Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4Jette les yeux à droite, et regarde! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5Eternel! c’est à toi que je crie. Je dis: Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.
6Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.
7Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

Ésaïe 63.17 – 64.11

17Pourquoi, ô Eternel, nous fais-tu errer loin de tes voies, Et endurcis-tu notre cœur contre ta crainte? Reviens, pour l’amour de tes serviteurs, Des tribus de ton héritage!

18Ton peuple saint n’a possédé le pays que peu de temps; Nos ennemis ont foulé ton sanctuaire.
19Nous sommes depuis longtemps comme un peuple que tu ne gouvernes pas, Et qui n’est point appelé de ton nom…

 

1Oh! si tu déchirais les cieux, et si tu descendais, Les montagnes s’ébranleraient devant toi,

2Comme s’allume un feu de bois sec, Comme s’évapore l’eau qui bouillonne; Tes ennemis connaîtraient ton nom, Et les nations trembleraient devant toi.

3Lorsque tu fis des prodiges que nous n’attendions pas, Tu descendis, et les montagnes s’ébranlèrent devant toi.

4Jamais on n’a appris ni entendu dire, Et jamais l’œil n’a vu qu’un autre dieu que toi Fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui.

5Tu vas au-devant de celui qui pratique avec joie la justice, De ceux qui marchent dans tes voies et se souviennent de toi. Mais tu as été irrité, parce que nous avons péché; Et nous en souffrons longtemps jusqu’à ce que nous soyons sauvés.

6Nous sommes tous comme des impurs, Et toute notre justice est comme un vêtement souillé; Nous sommes tous flétris comme une feuille, Et nos crimes nous emportent comme le vent.

7Il n’y a personne qui invoque ton nom, Qui se réveille pour s’attacher à toi: Aussi nous as-tu caché ta face, Et nous laisses-tu périr par l’effet de nos crimes.

8Cependant, ô Eternel, tu es notre père; Nous sommes l’argile, et c’est toi qui nous as formés, Nous sommes tous l’ouvrage de tes mains.

9Ne t’irrite pas à l’extrême, ô Eternel, Et ne te souviens pas à toujours du crime; Regarde donc, nous sommes tous ton peuple.

10Tes villes saintes sont un désert; Sion est un désert, Jérusalem une solitude.

11Notre maison sainte et glorieuse, Où nos pères célébraient tes louanges, Est devenue la proie des flammes; Tout ce que nous avions de précieux a été dévasté.

Psaume 142

1Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. De ma voix je crie à l’Eternel, De ma voix j’implore l’Eternel.

2Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4Jette les yeux à droite, et regarde! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5Eternel! c’est à toi que je crie. Je dis: Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.
6Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.

7Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

Jacques 2.1-13

1Mes frères, que votre foi en notre glorieux Seigneur Jésus-Christ soit exempte de toute acception de personnes. 2Supposez, en effet, qu’il entre dans votre assemblée un homme avec un anneau d’or et un habit magnifique, et qu’il y entre aussi un pauvre misérablement vêtu; 3si, tournant vos regards vers celui qui porte l’habit magnifique, vous lui dites: Toi, assieds-toi ici à cette place d’honneur! et si vous dites au pauvre: Toi, tiens-toi là debout! ou bien: Assieds-toi au-dessous de mon marchepied! 4ne faites-vous pas en vous-mêmes une distinction, et ne jugez-vous pas sous l’inspiration de pensées mauvaises? 5Ecoutez, mes frères bien-aimés: Dieu n’a-t-il pas choisi les pauvres aux yeux du monde, pour qu’ils soient riches en la foi, et héritiers du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment? 6Et vous, vous avilissez le pauvre! Ne sont-ce pas les riches qui vous oppriment, et qui vous traînent devant les tribunaux? 7Ne sont-ce pas eux qui outragent le beau nom que vous portez?

8Si vous accomplissez la loi royale, selon l’Ecriture: Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. 9Mais si vous faites acception de personnes, vous commettez un péché, vous êtes condamnés par la loi comme des transgresseurs. 10Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. 11En effet, celui qui a dit: Tu ne commettras point d’adultère, a dit aussi: Tu ne tueras point. Or, si tu ne commets point d’adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi. 12Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté, 13car le jugement est sans miséricorde pour qui n’a pas fait miséricorde. La miséricorde triomphe du jugement.

Psaume 142

1Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. De ma voix je crie à l’Eternel, De ma voix j’implore l’Eternel.

2Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4Jette les yeux à droite, et regarde! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5Eternel! c’est à toi que je crie. Je dis: Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.

6Sois attentif à mes cris! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent! Car ils sont plus forts que moi.

7Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

1 Samuel 18.1-16

1 David avait achevé de parler à Saül. Et dès lors l’âme de Jonathan fut attachée à l’âme de David, et Jonathan l’aima comme son âme.

2 Ce même jour Saül retint David, et ne le laissa pas retourner dans la maison de son père.

3 Jonathan fit alliance avec David, parce qu’il l’aimait comme son âme.

4 Il ôta le manteau qu’il portait, pour le donner à David ; et il lui donna ses vêtements, même son épée, son arc et sa ceinture.

5 David allait et réussissait partout où l’envoyait Saül ; il fut mis par Saül à la tête des gens de guerre, et il plaisait à tout le peuple, même aux serviteurs de Saül.

6 Comme ils revenaient, lors du retour de David après qu’il eut tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d’Israël au-devant du roi Saül, en chantant et en dansant, au son des tambourins et des triangles, et en poussant des cris de joie.

7 Les femmes qui chantaient se répondaient les unes aux autres, et disaient : Saül a frappé ses mille, -Et David ses dix mille.

8 Saül fut très irrité, et cela lui déplut. Il dit : On en donne dix mille à David, et c’est à moi que l’on donne les mille ! Il ne lui manque plus que la royauté.

9 Et Saül regarda David d’un mauvais oeil, à partir de ce jour et dans la suite.

10 Le lendemain, le mauvais esprit de Dieu saisit Saül, qui eut des transports au milieu de la maison. David jouait, comme les autres jours, et Saül avait sa lance à la main.

11 Saül leva sa lance, disant en lui-même : Je frapperai David contre la paroi. Mais David se détourna de lui deux fois.

12 Saül craignait la présence de David, parce que l’Éternel était avec David et s’était retiré de lui.

13 Il l’éloigna de sa personne, et il l’établit chef de mille hommes. David sortait et rentrait à la tête du peuple ;

14 il réussissait dans toutes ses entreprises, et l’Éternel était avec lui.

15 Saül, voyant qu’il réussissait toujours, avait peur de lui ;

16 mais tout Israël et Juda aimaient David, parce qu’il sortait et rentrait à leur tête.

Psaume 142

1 (142 : 1) Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. (142 : 2) De ma voix je crie à l’Éternel, De ma voix j’implore l’Éternel.

2 (142 : 3) Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3 (142 : 4) Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4 (142 : 5) Jette les yeux à droite, et regarde ! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5 (142 : 6) Éternel ! C’est à toi que je crie. Je dis : Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.

6 (142 : 7) Sois attentifs à mes cris ! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent ! Car ils sont plus forts que moi.

7 (142 : 8) Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom ! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

Vendredi 13 Juillet 2018 (Jean 5.1-9a , Psaume 142)

Jean 5.1-9

1 Après cela, il y eut une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.

2 Or, à Jérusalem, près de la porte des brebis, il y a une piscine qui s’appelle en hébreu Béthesda, et qui a cinq portiques.

3 Sous ces portiques étaient couchés en grand nombre des malades, des aveugles, des boiteux, des paralytiques, qui attendaient le mouvement de l’eau ;

4 car un ange descendait de temps en temps dans la piscine, et agitait l’eau ; et celui qui y descendait le premier après que l’eau avait été agitée était guéri, quelle que fût sa maladie.

5 Là se trouvait un homme malade depuis trente-huit ans.

6 Jésus, l’ayant vu couché, et sachant qu’il était malade depuis longtemps, lui dit : Veux-tu être guéri ?

7 Le malade lui répondit : Seigneur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine quand l’eau est agitée, et, pendant que j’y vais, un autre descend avant moi.

8 Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche.

9 Aussitôt cet homme fut guéri ; il prit son lit, et marcha.


Psaumes 142.1-7

1 Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. (142 : 2) De ma voix je crie à l’Éternel, De ma voix j’implore l’Éternel.

2 Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse.

3 Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège.

4 Jette les yeux à droite, et regarde ! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme.

5 Éternel ! C’est à toi que je crie. Je dis : Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants.

6 Sois attentif à mes cris ! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent ! Car ils sont plus forts que moi.

7 Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom ! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

Hébreux 11.32-40

Et que dirai-je encore ? Car le temps me manquerait pour parler de Gédéon, de Barak, de Samson, de Jephthé, de David, de Samuel, et des prophètes, qui, par la foi, vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, obtinrent des promesses, fermèrent la gueule des lions, éteignirent la puissance du feu, échappèrent au tranchant de l’épée, guérirent de leurs maladies, furent vaillants à la guerre, mirent en fuite des armées étrangères. Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection ; d’autres furent livrés aux tourments, et n’acceptèrent point de délivrance, afin d’obtenir une meilleure résurrection ; d’autres subirent les moqueries et le fouet, les chaînes et la prison ; ils furent lapidés, sciés, torturés, ils moururent tués par l’épée, ils allèrent çà et là vêtus de peaux de brebis et de peaux de chèvres, dénués de tout, persécutés, maltraités, eux dont le monde n’était pas digne, errants dans les déserts et les montagnes, dans les cavernes et les antres de la terre. Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n’ont pas obtenu ce qui leur était promis, Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu’ils ne parvinssent pas sans nous à la perfection.

Psaume 142

(142 : 1) Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne. Prière. (142 : 2) De ma voix je crie à l’Éternel, De ma voix j’implore l’Éternel. (142 : 3) Je répands ma plainte devant lui, Je lui raconte ma détresse. (142 : 4) Quand mon esprit est abattu au dedans de moi, Toi, tu connais mon sentier. Sur la route où je marche Ils m’ont tendu un piège. (142 : 5) Jette les yeux à droite, et regarde ! Personne ne me reconnaît, Tout refuge est perdu pour moi, Nul ne prend souci de mon âme. (142 : 6) Éternel ! c’est à toi que je crie. Je dis : Tu es mon refuge, Mon partage sur la terre des vivants. (142 : 7) Sois attentif à mes cris ! Car je suis bien malheureux. Délivre-moi de ceux qui me poursuivent ! Car ils sont plus forts que moi. (142 : 8) Tire mon âme de sa prison, Afin que je célèbre ton nom ! Les justes viendront m’entourer, Quand tu m’auras fait du bien.

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