Mercredi 28 juillet 2021 (Actes 25.13-27, Psaume 64)

Actes 25.13-27

13Quelques jours après, le roi Agrippa et Bérénice arrivèrent à Césarée, pour saluer Festus. 14Comme ils passèrent là plusieurs jours, Festus exposa au roi l’affaire de Paul, et dit: Félix a laissé prisonnier un homme 15contre lequel, lorsque j’étais à Jérusalem, les principaux sacrificateurs et les anciens des Juifs ont porté plainte, en demandant sa condamnation. 16Je leur ai répondu que ce n’est pas la coutume des Romains de livrer un homme avant que l’inculpé ait été mis en présence de ses accusateurs, et qu’il ait eu la faculté de se défendre sur les choses dont on l’accuse. 17Ils sont donc venus ici, et, sans différer, je m’assis le lendemain sur mon tribunal, et je donnai l’ordre qu’on amenât cet homme. 18Les accusateurs, s’étant présentés, ne lui imputèrent rien de ce que je supposais; 19ils avaient avec lui des discussions relatives à leur religion particulière, et à un certain Jésus qui est mort, et que Paul affirmait être vivant. 20Ne sachant quel parti prendre dans ce débat, je lui demandai s’il voulait aller à Jérusalem, et y être jugé sur ces choses. 21Mais Paul en ayant appelé, pour que sa cause fût réservée à la connaissance de l’empereur, j’ai ordonné qu’on le gardât jusqu’à ce que je l’envoyasse à César. 22Agrippa dit à Festus: Je voudrais aussi entendre cet homme. Demain, répondit Festus, tu l’entendras.

23Le lendemain donc, Agrippa et Bérénice vinrent en grande pompe, et entrèrent dans le lieu de l’audience avec les tribuns et les principaux de la ville. Sur l’ordre de Festus, Paul fut amené. 24Alors Festus dit: Roi Agrippa, et vous tous qui êtes présents avec nous, vous voyez cet homme au sujet duquel toute la multitude des Juifs s’est adressée à moi, soit à Jérusalem, soit ici, en s’écriant qu’il ne devait plus vivre. 25Pour moi, ayant reconnu qu’il n’a rien fait qui mérite la mort, et lui-même en ayant appelé à l’empereur, j’ai résolu de le faire partir. 26Je n’ai rien de certain à écrire à l’empereur sur son compte; c’est pourquoi je l’ai fait paraître devant vous, et surtout devant toi, roi Agrippa, afin de savoir qu’écrire, après qu’il aura été examiné. 27Car il me semble absurde d’envoyer un prisonnier sans indiquer de quoi on l’accuse.

Psaume 64

1Au chef des chantres. Psaume de David. O Dieu, écoute ma voix, quand je gémis! Protège ma vie contre l’ennemi que je crains!

2Garantis-moi des complots des méchants, De la troupe bruyante des hommes iniques!
3Ils aiguisent leur langue comme un glaive, Ils lancent comme des traits leurs paroles amères,
4Pour tirer en cachette sur l’innocent; Ils tirent sur lui à l’improviste, et n’ont aucune crainte.
5Ils se fortifient dans leur méchanceté: Ils se concertent pour tendre des pièges, Ils disent: Qui les verra?

6Ils méditent des crimes: Nous voici prêts, le plan est conçu! La pensée intime, le cœur de chacun est un abîme.

7Dieu lance contre eux ses traits: Soudain les voilà frappés.

8Leur langue a causé leur chute; Tous ceux qui les voient secouent la tête.

9Tous les hommes sont saisis de crainte, Ils publient ce que Dieu fait, Et prennent garde à son œuvre.10Le juste se réjouit en l’Eternel et cherche en lui son refuge, Tous ceux qui ont le cœur droit se glorifient.

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