Mois : juin 2018

Genèse 3.9-15

Mais l’Éternel Dieu appela l’homme, et lui dit : Où es-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché. Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé. Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé. L’Éternel Dieu dit au serpent : Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon.

1 Corinthiens 4.13-51

calomniés, nous parlons avec bonté ; nous sommes devenus comme les balayures du monde, le rebut de tous, jusqu’à maintenant. Ce n’est pas pour vous faire honte que j’écris ces choses ; mais je vous avertis comme mes enfants bien-aimés. Car, quand vous auriez dix mille maîtres en Christ, vous n’avez cependant pas plusieurs pères, puisque c’est moi qui vous ai engendrés en Jésus Christ par l’Évangile. Je vous en conjure donc, soyez mes imitateurs. Pour cela je vous ai envoyé Timothée, qui est mon enfant bien-aimé et fidèle dans le Seigneur ; il vous rappellera quelles sont mes voies en Christ, quelle est la manière dont j’enseigne partout dans toutes les Églises. Quelques-uns se sont enflés d’orgueil, comme si je ne devais pas aller chez vous. Mais j’irai bientôt chez vous, si c’est la volonté du Seigneur, et je connaîtrai, non les paroles, mais la puissance de ceux qui se sont enflés. Car le royaume de Dieu ne consiste pas en paroles, mais en puissance. Que voulez-vous ? Que j’aille chez vous avec une verge, ou avec amour et dans un esprit de douceur ?

Marc 3.20-35

Ils se rendirent à la maison, et la foule s’assembla de nouveau, en sorte qu’ils ne pouvaient pas même prendre leur repas. Les parents de Jésus, ayant appris ce qui se passait, vinrent pour se saisir de lui ; car ils disaient : Il est hors de sens. Et les scribes, qui étaient descendus de Jérusalem, dirent : Il est possédé de Béelzébul ; c’est par le prince des démons qu’il chasse les démons. Jésus les appela, et leur dit sous forme de paraboles : Comment Satan peut-il chasser Satan ? Si un royaume est divisé contre lui-même, ce royaume ne peut subsister ; et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister. Si donc Satan se révolte contre lui-même, il est divisé, et il ne peut subsister, mais c’en est fait de lui. Personne ne peut entrer dans la maison d’un homme fort et piller ses biens, sans avoir auparavant lié cet homme fort ; alors il pillera sa maison. Je vous le dis en vérité, tous les péchés seront pardonnés aux fils des hommes, et les blasphèmes qu’ils auront proférés ; mais quiconque blasphémera contre le Saint Esprit n’obtiendra jamais de pardon : il est coupable d’un péché éternel. Jésus parla ainsi parce qu’ils disaient : Il est possédé d’un esprit impur. Survinrent sa mère et ses frères, qui, se tenant dehors, l’envoyèrent appeler. La foule était assise autour de lui, et on lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors et te demandent. Et il répondit : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? Puis, jetant les regards sur ceux qui étaient assis tout autour de lui : Voici, dit-il, ma mère et mes frères. Car, quiconque fait la volonté de Dieu, celui-là est mon frère, ma sœur, et ma mère.

Psaume 130

Cantique des degrés. Du fond de l’abîme je t’invoque, ô Éternel ! Seigneur, écoute ma voix ! Que tes oreilles soient attentives A la voix de mes supplications ! Si tu gardais le souvenir des iniquités, Éternel, Seigneur, qui pourrait subsister ? Mais le pardon se trouve auprès de toi, Afin qu’on te craigne. J’espère en l’Éternel, mon âme espère, Et j’attends sa promesse. Mon âme compte sur le Seigneur, Plus que les gardes ne comptent sur le matin, Que les gardes ne comptent sur le matin. Israël, mets ton espoir en l’Éternel ! Car la miséricorde est auprès de l’Éternel, Et la rédemption est auprès de lui en abondance. C’est lui qui rachètera Israël De toutes ses iniquités.

Amos 4.1-13

Écoutez cette parole, génisses de Basan qui êtes sur la montagne de Samarie, Vous qui opprimez les misérables, qui écrasez les indigents, Et qui dites à vos maris : Apportez, et buvons ! Le Seigneur, l’Éternel, l’a juré par sa sainteté : Voici, les jours viendront pour vous Où l’on vous enlèvera avec des crochets, Et votre postérité avec des hameçons ; Vous sortirez par les brèches, chacune devant soi, Et vous serez jetés dans la forteresse, dit l’Éternel. Allez à Béthel, et péchez ! Allez à Guilgal, et péchez davantage ! Offrez vos sacrifices chaque matin, Et vos dîmes tous les trois jours ! Faites vos sacrifices d’actions de grâces avec du levain ! Proclamez, publiez vos offrandes volontaires ! Car c’est là ce que vous aimez, enfants d’Israël, Dit le Seigneur, l’Éternel. Et moi, je vous ai envoyé la famine dans toutes vos villes, Le manque de pain dans toutes vos demeures. Malgré cela, vous n’êtes pas revenus à moi, dit l’Éternel. Et moi, je vous ai refusé la pluie, Lorsqu’il y avait encore trois mois jusqu’à la moisson ; J’ai fait pleuvoir sur une ville, Et je n’ai pas fait pleuvoir sur une autre ville ; Un champ a reçu la pluie, Et un autre qui ne l’a pas reçue s’est desséché. Deux, trois villes sont allées vers une autre pour boire de l’eau, Et elles n’ont point apaisé leur soif. Malgré cela, vous n’êtes pas revenus à moi, dit l’Éternel. Je vous ai frappés par la rouille et par la nielle ; Vos nombreux jardins, vos vignes, vos figuiers et vos oliviers Ont été dévorés par les sauterelles. Malgré cela, vous n’êtes pas revenus à moi, dit l’Éternel. J’ai envoyé parmi vous la peste, comme en Égypte ; J’ai tué vos jeunes gens par l’épée, Et laissé prendre vos chevaux ; J’ai fait monter à vos narines l’infection de votre camp. Malgré cela, vous n’êtes pas revenus à moi, dit l’Éternel. Je vous ai bouleversés, Comme Sodome et Gomorrhe, que Dieu détruisit ; Et vous avez été comme un tison arraché de l’incendie. Malgré cela, vous n’êtes pas revenus à moi, dit l’Éternel… C’est pourquoi je te traiterai de la même manière, Israël ; Et puisque je te traiterai de la même manière, Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu, O Israël ! Car voici celui qui a formé les montagnes et créé le vent, Et qui fait connaître à l’homme ses pensées, Celui qui change l’aurore en ténèbres, Et qui marche sur les hauteurs de la terre : Son nom est l’Éternel, le Dieu des armées.

Psaume 89.31-47

(89 : 32) S’ils violent mes préceptes Et n’observent pas mes commandements, (89 : 33) Je punirai de la verge leurs transgressions, Et par des coups leurs iniquités ; (89 : 34) Mais je ne lui retirerai point ma bonté Et je ne trahirai pas ma fidélité, (89 : 35) Je ne violerai point mon alliance Et je ne changerai pas ce qui est sorti de mes lèvres. (89 : 36) J’ai juré une fois par ma sainteté : Mentirai-je à David ? (89 : 37) Sa postérité subsistera toujours ; Son trône sera devant moi comme le soleil, (89 : 38) Comme la lune il aura une éternelle durée. Le témoin qui est dans le ciel est fidèle. Pause. (89 : 39) Et pourtant, tu as rejeté, tu as repoussé ! Tu t’es irrité contre ton oint ! (89 : 40) Tu as dédaigné l’alliance avec ton serviteur ; Tu as abattu, profané sa couronne. (89 : 41) Tu as détruit toutes ses murailles, Tu as mis en ruines ses forteresses. (89 : 42) Tous les passants le dépouillent ; Il est un objet d’opprobre pour ses voisins. (89 : 43) Tu as élevé la droite de ses adversaires, Tu as réjoui tous ses ennemis ; (89 : 44) Tu as fait reculer le tranchant de son glaive, Et tu ne l’as pas soutenu dans le combat. (89 : 45) Tu as mis un terme à sa splendeur, Et tu as jeté son trône à terre ; (89 : 46) Tu as abrégé les jours de sa jeunesse, Tu l’as couvert de honte. Pause. (89 : 47) Jusques à quand, Éternel ! te cacheras-tu sans cesse, Et ta fureur s’embrasera-t-elle comme le feu ?

Amos 3.1-2

Écoutez cette parole que l’Éternel prononce contre vous, enfants d’Israël, Contre toute la famille que j’ai fait monter du pays d’Égypte ! Je vous ai choisis, vous seuls parmi toutes les familles de la terre ; C’est pourquoi je vous châtierai pour toutes vos iniquités.

Amos 9-15

Faites retentir votre voix dans les palais d’Asdod Et dans les palais du pays d’Égypte, Et dites : Rassemblez-vous sur les montagnes de Samarie, Et voyez quelle immense confusion au milieu d’elle, Quelles violences dans son sein ! Ils ne savent pas agir avec droiture, dit l’Éternel, Ils entassent dans leurs palais les produits de la violence et de la rapine. C’est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : L’ennemi investira le pays, Il détruira ta force, Et tes palais seront pillés. Ainsi parle l’Éternel : Comme le berger arrache de la gueule du lion Deux jambes ou un bout d’oreille, Ainsi se sauveront les enfants d’Israël qui sont assis dans Samarie A l’angle d’un lit et sur des tapis de damas. Écoutez, et déclarez ceci à la maison de Jacob ! Dit le Seigneur, l’Éternel, le Dieu des armées. Le jour où je punirai Israël pour ses transgressions, Je frapperai sur les autels de Béthel ; Les cornes de l’autel seront brisées, Et tomberont à terre. Je renverserai les maisons d’hiver et les maisons d’été ; Les palais d’ivoire périront, Les maisons des grands disparaîtront, dit l’Éternel.

Psaume 71

Éternel ! je cherche en toi mon refuge : Que jamais je ne sois confondu ! Dans ta justice, sauve-moi et délivre-moi ! Incline vers moi ton oreille, et secours-moi ! Sois pour moi un rocher qui me serve d’asile, Où je puisse toujours me retirer ! Tu as résolu de me sauver, Car tu es mon rocher et ma forteresse. Mon Dieu, délivre-moi de la main du méchant, De la main de l’homme inique et violent ! Car tu es mon espérance, Seigneur Éternel ! En toi je me confie dès ma jeunesse. Dès le ventre de ma mère je m’appuie sur toi ; C’est toi qui m’as fait sortir du sein maternel ; tu es sans cesse l’objet de mes louanges. Je suis pour plusieurs comme un prodige, Et toi, tu es mon puissant refuge. Que ma bouche soit remplie de tes louanges, Que chaque jour elle te glorifie ! Ne me rejette pas au temps de la vieillesse ; Quand mes forces s’en vont, ne m’abandonne pas ! Car mes ennemis parlent de moi, Et ceux qui guettent ma vie se consultent entre eux, Disant : Dieu l’abandonne ; Poursuivez, saisissez-le ; il n’y a personne pour le délivrer. O Dieu, ne t’éloigne pas de moi ! Mon Dieu, viens en hâte à mon secours ! Qu’ils soient confus, anéantis, ceux qui en veulent à ma vie ! Qu’ils soient couverts de honte et d’opprobre, ceux qui cherchent ma perte ! Et moi, j’espérerai toujours, Je te louerai de plus en plus. Ma bouche publiera ta justice, ton salut, chaque jour, Car j’ignore quelles en sont les bornes. Je dirai tes oeuvres puissantes, Seigneur Éternel ! Je rappellerai ta justice, la tienne seule. O Dieu ! tu m’as instruit dès ma jeunesse, Et jusqu’à présent j’annonce tes merveilles. Ne m’abandonne pas, ô Dieu ! même dans la blanche vieillesse, Afin que j’annonce ta force à la génération présente, Ta puissance à la génération future ! Ta justice, ô Dieu ! atteint jusqu’au ciel ; Tu as accompli de grandes choses : ô Dieu ! qui est semblable à toi ? Tu nous as fait éprouver bien des détresses et des malheurs ; Mais tu nous redonneras la vie, Tu nous feras remonter des abîmes de la terre. Relève ma grandeur, Console-moi de nouveau ! Et je te louerai au son du luth, je chanterai ta fidélité, mon Dieu, Je te célébrerai avec la harpe, Saint d’Israël ! En te célébrant, j’aurai la joie sur les lèvres, La joie dans mon âme que tu as délivrée ; Ma langue chaque jour publiera ta justice, Car ceux qui cherchent ma perte sont honteux et confus.

Amos 1.1-2

Paroles d’Amos, l’un des bergers de Tekoa, visions qu’il eut sur Israël, au temps d’Ozias, roi de Juda, et au temps de Jéroboam, fils de Joas, roi d’Israël, deux ans avant le tremblement de terre. Il dit : De Sion l’Éternel rugit, De Jérusalem il fait entendre sa voix. Les pâturages des bergers sont dans le deuil, Et le sommet du Carmel est desséché.

Amos 3.3-8

Deux hommes marchent-ils ensemble, Sans en être convenus ? Le lion rugit-il dans la forêt, Sans avoir une proie ? Le lionceau pousse-t-il des cris du fond de sa tanière, Sans avoir fait une capture ? L’oiseau tombe-t-il dans le filet qui est à terre, Sans qu’il y ait un piège ? Le filet s’élève-t-il de terre, Sans qu’il y ait rien de pris ? Sonne-t-on de la trompette dans une ville, Sans que le peuple soit dans l’épouvante ? Arrive-t-il un malheur dans une ville, Sans que l’Éternel en soit l’auteur ? Car le Seigneur, l’Éternel, ne fait rien Sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes. Le lion rugit : qui ne serait effrayé ? Le Seigneur, l’Éternel, parle : qui ne prophétiserait ?

Psaume 57

(57 : 1) Au chef des chantres. “Ne détruis pas.” Hymne de David. Lorsqu’il se réfugia dans la caverne, poursuivi par Saül. (57 : 2) Aie pitié de moi, ô Dieu, aie pitié de moi ! Car en toi mon âme cherche un refuge ; Je cherche un refuge à l’ombre de tes ailes, Jusqu’à ce que les calamités soient passées. (57 : 3) Je crie au Dieu Très Haut, Au Dieu qui agit en ma faveur. (57 : 4) Il m’enverra du ciel le salut, Tandis que mon persécuteur se répand en outrages ; -Pause. Dieu enverra sa bonté et sa fidélité. (57 : 5) Mon âme est parmi des lions ; Je suis couché au milieu de gens qui vomissent la flamme, Au milieu d’hommes qui ont pour dents la lance et les flèches, Et dont la langue est un glaive tranchant. (57 : 6) Élève-toi sur les cieux, ô Dieu ! Que ta gloire soit sur toute la terre ! (57 : 7) Ils avaient tendu un filet sous mes pas : Mon âme se courbait ; Ils avaient creusé une fosse devant moi : Ils y sont tombés. -Pause. (57 : 8) Mon coeur est affermi, ô Dieu ! mon coeur est affermi ; Je chanterai, je ferai retentir mes instruments. (57 : 9) Réveille-toi, mon âme ! réveillez-vous, mon luth et ma harpe ! Je réveillerai l’aurore. (57 : 10) Je te louerai parmi les peuples, Seigneur ! Je te chanterai parmi les nations. (57 : 11) Car ta bonté atteint jusqu’aux cieux, Et ta fidélité jusqu’aux nues. (57 : 12) Élève-toi sur les cieux, ô Dieu ! Que ta gloire soit sur toute la terre !

Hébreux 13.15-25

Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-a-dire le fruit de lèvres qui confessent son nom. Et n’oubliez pas la bienfaisance et la libéralité, car c’est à de tels sacrifices que Dieu prend plaisir. Obéissez à vos conducteurs et ayez pour eux de la déférence, car ils veillent sur vos âmes comme devant en rendre compte ; qu’il en soit ainsi, afin qu’ils le fassent avec joie, et non en gémissant, ce qui vous ne serait d’aucun avantage. Priez pour nous ; car nous croyons avoir une bonne conscience, voulant en toutes choses nous bien conduire. C’est avec instance que je vous demande de le faire, afin que je vous sois rendu plus tôt. Que le Dieu de paix, qui a ramené d’entre les morts le grand pasteur des brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus, vous rende capables de toute bonne oeuvre pour l’accomplissement de sa volonté, et fasse en vous ce qui lui est agréable, par Jésus Christ, auquel soit la gloire aux siècles des siècles ! Amen ! Je vous prie, frères, de supporter ces paroles d’exhortation, car je vous ai écrit brièvement. Sachez que notre frère Timothée a été relâché ; s’il vient bientôt, j’irai vous voir avec lui. Saluez tous vos conducteurs, et tous les saints. Ceux d’Italie vous saluent. Que la grâce soit avec vous tous ! Amen !

Psaume 34

(34 : 1) De David. Lorsqu’il contrefit l’insensé en présence d’Abimélec, et qu’il s’en alla chassé par lui. (34 : 2) Je bénirai l’Éternel en tout temps ; Sa louange sera toujours dans ma bouche. (34 : 3) Que mon âme se glorifie en l’Éternel ! Que les malheureux écoutent et se réjouissent ! (34 : 4) Exaltez avec moi l’Éternel ! Célébrons tous son nom ! (34 : 5) J’ai cherché l’Éternel, et il m’a répondu ; Il m’a délivré de toutes mes frayeurs. (34 : 6) Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, Et le visage ne se couvre pas de honte. (34 : 7) Quand un malheureux crie, l’Éternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses. (34 : 8) L’ange de l’Éternel campe autour de ceux qui le craignent, Et il les arrache au danger. (34 : 9) Sentez et voyez combien l’Éternel est bon ! Heureux l’homme qui cherche en lui son refuge ! (34 : 10) Craignez l’Éternel, vous ses saints ! Car rien ne manque à ceux qui le craignent. (34 : 11) Les lionceaux éprouvent la disette et la faim, Mais ceux qui cherchent l’Éternel ne sont privés d’aucun bien. (34 : 12) Venez, mes fils, écoutez-moi ! Je vous enseignerai la crainte de l’Éternel. (34 : 13) Quel est l’homme qui aime la vie, Qui désire la prolonger pour jouir du bonheur ? (34 : 14) Préserve ta langue du mal, Et tes lèvres des paroles trompeuses ; (34 : 15) Éloigne-toi du mal, et fais le bien ; Recherche et poursuis la paix. (34 : 16) Les yeux de l’Éternel sont sur les justes, Et ses oreilles sont attentives à leurs cris. (34 : 17) L’Éternel tourne sa face contre les méchants, Pour retrancher de la terre leur souvenir. (34 : 18) Quand les justes crient, l’Éternel entend, Et il les délivre de toutes leurs détresses ; (34 : 19) L’Éternel est près de ceux qui ont le cœur brisé, Et il sauve ceux qui ont l’esprit dans l’abattement. (34 : 20) Le malheur atteint souvent le juste, Mais l’Éternel l’en délivre toujours. (34 : 21) Il garde tous ses os, Aucun d’eux n’est brisé. (34 : 22) Le malheur tue le méchant, Et les ennemis du juste sont châtiés.

Hébreux 13.1-14

Persévérez dans l’amour fraternel. N’oubliez pas l’hospitalité ; car, en l’exerçant, quelques-uns ont logé des anges, sans le savoir. Souvenez-vous des prisonniers, comme si vous étiez aussi prisonniers ; de ceux qui sont maltraités, comme étant aussi vous-mêmes dans un corps. Que le mariage soit honoré de tous, et le lit conjugal exempt de souillure, car Dieu jugera les impudiques et les adultères. Ne vous livrez pas à l’amour de l’argent ; contentez-vous de ce que vous avez ; car Dieu lui-même a dit : Je ne te délaisserai point, et je ne t’abandonnerai point. C’est donc avec assurance que nous pouvons dire : Le Seigneur est mon aide, je ne craindrai rien ; Que peut me faire un homme ? Souvenez-vous de vos conducteurs qui vous ont annoncé la parole de Dieu ; considérez quelle a été la fin de leur vie, et imitez leur foi. Jésus Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Ne vous laissez pas entraîner par des doctrines diverses et étrangères ; car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce, et non par des aliments qui n’ont servi de rien à ceux qui s’y sont attachés. Nous avons un autel dont ceux qui font le service au tabernacle n’ont pas le pouvoir de manger. Le corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le souverain sacrificateur pour le péché, sont brûlés hors du camp. C’est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte. Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre. Car nous n’avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir.

Psaume 66

Au chef des chantres. Cantique. Psaume. Poussez vers Dieu des cris de joie, Vous tous, habitants de la terre ! Chantez la gloire de son nom, Célébrez sa gloire par vos louanges ! Dites à Dieu : Que tes œuvres sont redoutables ! A cause de la grandeur de ta force, tes ennemis te flattent. Toute la terre se prosterne devant toi et chante en ton honneur ; Elle chante ton nom. -Pause. Venez et contemplez les œuvres de Dieu ! Il est redoutable quand il agit sur les fils de l’homme. Il changea la mer en une terre sèche, On traversa le fleuve à pied : Alors nous nous réjouîmes en lui. Il domine éternellement par sa puissance, Ses yeux observent les nations : Que les rebelles ne s’élèvent pas ! -Pause. Peuples, bénissez notre Dieu, Faites retentir sa louange ! Il a conservé la vie à notre âme, Et il n’a pas permis que notre pied chancelât. Car tu nous as éprouvés, ô Dieu ! Tu nous as fait passer au creuset comme l’argent. Tu nous as amenés dans le filet, Tu as mis sur nos reins un pesant fardeau, Tu as fait monter des hommes sur nos têtes ; Nous avons passé par le feu et par l’eau. Mais tu nous en as tirés pour nous donner l’abondance. J’irai dans ta maison avec des holocaustes, J’accomplirai mes vœux envers toi : Pour eux mes lèvres se sont ouvertes, Et ma bouche les a prononcés dans ma détresse. Je t’offrirai des brebis grasses en holocauste, Avec la graisse des béliers ; Je sacrifierai des brebis avec des boucs. -Pause. Venez, écoutez, vous tous qui craignez Dieu, et je raconterai Ce qu’il a fait à mon âme. J’ai crié à lui de ma bouche, Et la louange a été sur ma langue. Si j’avais conçu l’iniquité dans mon cœur, Le Seigneur ne m’aurait pas exaucé. Mais Dieu m’a exaucé, Il a été attentif à la voix de ma prière. Béni soit Dieu, Qui n’a pas rejeté ma prière, Et qui ne m’a pas retiré sa bonté !

Hébreux 12.25-29

Gardez-vous de refuser d’entendre celui qui parle ; car si ceux-là n’ont pas échappé qui refusèrent d’entendre celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de celui qui parle du haut des cieux, lui, dont la voix alors ébranla la terre, et qui maintenant a fait cette promesse : Une fois encore j’ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel. Ces mots : Une fois encore, indiquent le changement des choses ébranlées, comme étant faites pour un temps, afin que les choses inébranlables subsistent. C’est pourquoi, recevant un royaume inébranlable, montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte, car notre Dieu est aussi un feu dévorant.

Psaume 18.26-51

(18 : 27) Avec celui qui est pur tu te montres pur, Et avec le pervers tu agis selon sa perversité. (18 : 28) Tu sauves le peuple qui s’humilie, Et tu abaisses les regards hautains. (18 : 29) Oui, tu fais briller ma lumière ; L’Éternel, mon Dieu, éclaire mes ténèbres. (18 : 30) Avec toi je me précipite sur une troupe en armes, Avec mon Dieu je franchis une muraille. (18 : 31) Les voies de Dieu sont parfaites, La parole de l’Éternel est éprouvée ; Il est un bouclier pour tous ceux qui se confient en lui. (18 : 32) Car qui est Dieu, si ce n’est l’Éternel ; Et qui est un rocher, si ce n’est notre Dieu ? (18 : 33) C’est Dieu qui me ceint de force, Et qui me conduit dans la voie droite. (18 : 34) Il rend mes pieds semblables à ceux des biches, Et il me place sur mes lieux élevés. (18 : 35) Il exerce mes mains au combat, Et mes bras tendent l’arc d’airain. (18 : 36) Tu me donnes le bouclier de ton salut, Ta droite me soutient, Et je deviens grand par ta bonté. (18 : 37) Tu élargis le chemin sous mes pas, Et mes pieds ne chancellent point. (18 : 38) Je poursuis mes ennemis, je les atteins, Et je ne reviens pas avant de les avoir anéantis. (18 : 39) Je les brise, et ils ne peuvent se relever ; Ils tombent sous mes pieds. (18 : 40) Tu me ceins de force pour le combat, Tu fais plier sous moi mes adversaires. (18 : 41) Tu fais tourner le dos à mes ennemis devant moi, Et j’extermine ceux qui me haïssent. (18 : 42) Ils crient, et personne pour les sauver ! Ils crient à l’Éternel, et il ne leur répond pas ! (18 : 43) Je les broie comme la poussière qu’emporte le vent, Je les foule comme la boue des rues. (18 : 44) Tu me délivres des dissensions du peuple ; Tu me mets à la tête des nations ; Un peuple que je ne connaissais pas m’est asservi. (18 : 45) Ils m’obéissent au premier ordre, Les fils de l’étranger me flattent ; (18 : 46) Les fils de l’étranger sont en défaillance, Ils tremblent hors de leurs forteresses. (18 : 47) Vive l’Éternel, et béni soit mon rocher ! Que le Dieu de mon salut soit exalté, (18 : 48) Le Dieu qui est mon vengeur, Qui m’assujettit les peuples, (18 : 49) Qui me délivre de mes ennemis ! Tu m’élèves au-dessus de mes adversaires, Tu me sauves de l’homme violent. (18 : 50) C’est pourquoi je te louerai parmi les nations, ô Éternel ! Et je chanterai à la gloire de ton nom.

Exode 24.3-8

Moïse vint rapporter au peuple toutes les paroles de l’Éternel et toutes les lois. Le peuple entier répondit d’une même voix : Nous ferons tout ce que l’Éternel a dit. Moïse écrivit toutes les paroles de l’Éternel. Puis il se leva de bon matin ; il bâtit un autel au pied de la montagne, et dressa douze pierres pour les douze tribus d’Israël. Il envoya des jeunes hommes, enfants d’Israël, pour offrir à l’Éternel des holocaustes, et immoler des taureaux en sacrifices d’actions de grâces. Moïse prit la moitié du sang, qu’il mit dans des bassins, et il répandit l’autre moitié sur l’autel. Il prit le livre de l’alliance, et le lut en présence du peuple ; ils dirent : Nous ferons tout ce que l’Éternel a dit, et nous obéirons. Moïse prit le sang, et il le répandit sur le peuple, en disant : Voici le sang de l’alliance que l’Éternel a faite avec vous selon toutes ces paroles.

Hébreux 9.11-15

Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir ; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est-à-dire, qui n’est pas de cette création ; et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle. Car si le sang des taureaux et des boucs, et la cendre d’une vache, répandue sur ceux qui sont souillés, sanctifient et procurent la pureté de la chair, combien plus le sang de Christ, qui, par un esprit éternel, s’est offert lui-même sans tache à Dieu, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes, afin que vous serviez le Dieu vivant ! Et c’est pour cela qu’il est le médiateur d’une nouvelle alliance, afin que, la mort étant intervenue pour le rachat des transgressions commises sous la première alliance, ceux qui ont été appelés reçoivent l’héritage éternel qui leur a été promis.

Marc 14.12-26

Le premier jour des pains sans levain, où l’on immolait la Pâque, les disciples de Jésus lui dirent : Où veux-tu que nous allions te préparer la Pâque ? Et il envoya deux de ses disciples, et leur dit : Allez à la ville ; vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau, suivez-le. Quelque part qu’il entre, dites au maître de la maison : Le maître dit : Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples ? Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée et toute prête : c’est là que vous nous préparerez la Pâque. Les disciples partirent, arrivèrent à la ville, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit ; et ils préparèrent la Pâque. Le soir étant venu, il arriva avec les douze. Pendant qu’ils étaient à table et qu’ils mangeaient, Jésus dit : Je vous le dis en vérité, l’un de vous, qui mange avec moi, me livrera. Ils commencèrent à s’attrister, et à lui dire, l’un après l’autre : Est-ce moi ? Il leur répondit : C’est l’un des douze, qui met avec moi la main dans le plat. Le Fils de l’homme s’en va selon ce qui est écrit de lui. Mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré ! Mieux vaudrait pour cet homme qu’il ne fût pas né. Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Prenez, ceci est mon corps. Il prit ensuite une coupe ; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit : Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs. Je vous le dis en vérité, je ne boirai plus jamais du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai nouveau dans le royaume de Dieu. Après avoir chanté les cantiques, ils se rendirent à la montagne des oliviers.

Psaume 116

J’aime l’Éternel, car il entend Ma voix, mes supplications ; Car il a penché son oreille vers moi ; Et je l’invoquerai toute ma vie. Les liens de la mort m’avaient environné, Et les angoisses du sépulcre m’avaient saisi ; J’étais en proie à la détresse et à la douleur. Mais j’invoquerai le nom de l’Éternel : O Éternel, sauve mon âme ! L’Éternel est miséricordieux et juste, Notre Dieu est plein de compassion ; L’Éternel garde les simples ; J’étais malheureux, et il m’a sauvé. Mon âme, retourne à ton repos, Car l’Éternel t’a fait du bien. Oui, tu as délivré mon âme de la mort, Mes yeux des larmes, Mes pieds de la chute. Je marcherai devant l’Éternel, Sur la terre des vivants. J’avais confiance, lorsque je disais : Je suis bien malheureux ! Je disais dans mon angoisse : Tout homme est trompeur. Comment rendrai-je à l’Éternel Tous ses bienfaits envers moi ? J’élèverai la coupe des délivrances, Et j’invoquerai le nom de l’Éternel ; J’accomplirai mes vœux envers l’Éternel, En présence de tout son peuple. Elle a du prix aux yeux de l’Éternel, La mort de ceux qui l’aiment. Écoute-moi, ô Éternel ! car je suis ton serviteur, Ton serviteur, fils de ta servante. Tu as détaché mes liens. Je t’offrirai un sacrifice d’actions de grâces, Et j’invoquerai le nom de l’Éternel ; J’accomplirai mes vœux envers l’Éternel, En présence de tout son peuple, Dans les parvis de la maison de l’Éternel, Au milieu de toi, Jérusalem ! Louez l’Éternel !

Hébreux 12.18-24

Vous ne vous êtes pas approchés d’une montagne qu’on pouvait toucher et qui était embrasée par le feu, ni de la nuée, ni des ténèbres, ni de la tempête, ni du retentissement de la trompette, ni du bruit des paroles, tel que ceux qui l’entendirent demandèrent qu’il ne leur en fût adressé aucune de plus, car ils ne supportaient pas cette déclaration : Si même une bête touche la montagne, elle sera lapidée. Et ce spectacle était si terrible que Moïse dit : Je suis épouvanté et tout tremblant ! Mais vous vous êtes approchés de la montagne de Sion, de la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, des myriades qui forment le chœur des anges, de l’assemblé des premiers-nés inscrits dans les cieux, du juge qui est le Dieu de tous, des esprits des justes parvenus à la perfection, de Jésus qui est le médiateur de la nouvelle alliance, et du sang de l’aspersion qui parle mieux que celui d’Abel.

Psaume 11

Au chef des chantres. De David. C’est en l’Éternel que je cherche un refuge. Comment pouvez-vous me dire : Fuis dans vos montagnes, comme un oiseau ? Car voici, les méchants bandent l’arc, Ils ajustent leur flèche sur la corde, Pour tirer dans l’ombre sur ceux dont le cœur est droit. Quand les fondements sont renversés, Le juste, que ferait-il ? – L’Éternel est dans son saint temple, L’Éternel a son trône dans les cieux ; Ses yeux regardent, Ses paupières sondent les fils de l’homme. L’Éternel sonde le juste ; Il hait le méchant et celui qui se plaît à la violence. Il fait pleuvoir sur les méchants Des charbons, du feu et du soufre ; Un vent brûlant, c’est le calice qu’ils ont en partage. Car l’Éternel est juste, il aime la justice ; Les hommes droits contemplent sa face.

Hébreux 12.12-17

Fortifiez donc vos mains languissantes Et vos genoux affaiblis ; et suivez avec vos pieds des voies droites, afin que ce qui est boiteux ne dévie pas, mais plutôt se raffermisse. Recherchez la paix avec tous, et la sanctification, sans laquelle personne ne verra le Seigneur. Veillez à ce que nul ne se prive de la grâce de Dieu ; à ce qu’aucune racine d’amertume, poussant des rejetons, ne produise du trouble, et que plusieurs n’en soient infectés ; à ce qu’il n’y ait ni impudique, ni profane comme Ésaü, qui pour un mets vendit son droit d’aînesse. Vous savez que, plus tard, voulant obtenir la bénédiction, il fut rejeté, quoiqu’il la sollicitât avec larmes ; car son repentir ne put avoir aucun effet.

Psaume 18.1-25

(18 : 1) Au chef des chantres. Du serviteur de l’Éternel, de David, qui adressa à l’Éternel les paroles de ce cantique, lorsque l’Éternel l’eut délivré de la main de tous ses ennemis et de la main de Saül. Il dit : (18 : 2) Je t’aime, ô Éternel, ma force ! (18 : 3) Éternel, mon rocher, ma forteresse, mon libérateur ! Mon Dieu, mon rocher, où je trouve un abri ! Mon bouclier, la force qui me sauve, ma haute retraite ! (18 : 4) Je m’écrie : Loué soit l’Éternel ! Et je suis délivré de mes ennemis. (18 : 5) Les liens de la mort m’avaient environné, Et les torrents de la destruction m’avaient épouvanté ; (18 : 6) Les liens du sépulcre m’avaient entouré, Les filets de la mort m’avaient surpris. (18 : 7) Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Éternel, J’ai crié à mon Dieu ; De son palais, il a entendu ma voix, Et mon cri est parvenu devant lui à ses oreilles. (18 : 8) La terre fut ébranlée et trembla, Les fondements des montagnes frémirent, Et ils furent ébranlés, parce qu’il était irrité. (18 : 9) Il s’élevait de la fumée dans ses narines, Et un feu dévorant sortait de sa bouche : Il en jaillissait des charbons embrasés. (18 : 10) Il abaissa les cieux, et il descendit : Il y avait une épaisse nuée sous ses pieds. (18 : 11) Il était monté sur un chérubin, et il volait, Il planait sur les ailes du vent. (18 : 12) Il faisait des ténèbres sa retraite, sa tente autour de lui, Il était enveloppé des eaux obscures et de sombres nuages. (18 : 13) De la splendeur qui le précédait s’échappaient les nuées, Lançant de la grêle et des charbons de feu. (18 : 14) L’Éternel tonna dans les cieux, Le Très Haut fit retentir sa voix, Avec la grêle et les charbons de feu. (18 : 15) Il lança ses flèches et dispersa mes ennemis, Il multiplia les coups de la foudre et les mit en déroute. (18 : 16) Le lit des eaux apparut, Les fondements du monde furent découverts, Par ta menace, ô Éternel ! Par le bruit du souffle de tes narines. (18 : 17) Il étendit sa main d’en haut, il me saisit, Il me retira des grandes eaux ; (18 : 18) Il me délivra de mon adversaire puissant, De mes ennemis qui étaient plus forts que moi. (18 : 19) Ils m’avaient surpris au jour de ma détresse ; Mais l’Éternel fut mon appui. (18 : 20) Il m’a mis au large, Il m’a sauvé, parce qu’il m’aime. (18 : 21) L’Éternel m’a traité selon ma droiture, Il m’a rendu selon la pureté de mes mains ; (18 : 22) Car j’ai observé les voies de l’Éternel, Et je n’ai point été coupable envers mon Dieu. (18 : 23) Toutes ses ordonnances ont été devant moi, Et je ne me suis point écarté de ses lois. (18 : 24) J’ai été sans reproche envers lui, Et je me suis tenu en garde contre mon iniquité. (18 : 25) Aussi l’Éternel m’a rendu selon ma droiture, Selon la pureté de mes mains devant ses yeux.

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