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Étiquette : Psaume 139

Actes 12.18-25

18Quand il fit jour, les soldats furent dans une grande agitation, pour savoir ce que Pierre était devenu. 19Hérode, s’étant mis à sa recherche et ne l’ayant pas trouvé, interrogea les gardes, et donna l’ordre de les mener au supplice. Ensuite il descendit de la Judée à Césarée, pour y séjourner.

20Hérode avait des dispositions hostiles à l’égard des Tyriens et des Sidoniens. Mais ils vinrent le trouver d’un commun accord; et, après avoir gagné Blaste, son chambellan, ils sollicitèrent la paix, parce que leur pays tirait sa subsistance de celui du roi. 21A un jour fixé, Hérode, revêtu de ses habits royaux, et assis sur son trône, les harangua publiquement. 22Le peuple s’écria: Voix d’un dieu, et non d’un homme! 23Au même instant, un ange du Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait pas donné gloire à Dieu. Et il expira, rongé des vers.

24Cependant la parole de Dieu se répandait de plus en plus, et le nombre des disciples augmentait.

25Barnabas et Saul, après s’être acquittés de leur message, s’en retournèrent de Jérusalem, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc.

Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;

12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!

18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!

20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur! Eprouve-moi, et connais mes pensées!

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

Colossiens 3.1-4

1Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d’en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. 2Affectionnez-vous aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre. 3Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. 4Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire.

Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;

12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!

18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!

20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur! Eprouve-moi, et connais mes pensées!

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

Luc 7.11-17

11Le jour suivant, Jésus alla dans une ville appelée Naïn; ses disciples et une grande foule faisaient route avec lui. 12Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville. 13Le Seigneur, l’ayant vue, fut ému de compassion pour elle, et lui dit: Ne pleure pas! 14Il s’approcha, et toucha le cercueil. Ceux qui le portaient s’arrêtèrent. Il dit: Jeune homme, je te le dis, lève-toi! 15Et le mort s’assit, et se mit à parler. Jésus le rendit à sa mère. 16Tous furent saisis de crainte, et ils glorifiaient Dieu, disant: Un grand prophète a paru parmi nous, et Dieu a visité son peuple. 17Cette parole sur Jésus se répandit dans toute la Judée et dans tout le pays d’alentour.

Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;

12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!

18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!

20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur! Eprouve-moi, et connais mes pensées!

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

Tite 3.8-15

8Cette parole est certaine, et je veux que tu affirmes ces choses, afin que ceux qui ont cru en Dieu s’appliquent à pratiquer de bonnes oeuvres. Voilà ce qui est bon et utile aux hommes.

9Mais évite les discussions folles, les généalogies, les querelles, les disputes relatives à la loi; car elles sont inutiles et vaines. 10Eloigne de toi, après un premier et un second avertissement, celui qui provoque des divisions, 11sachant qu’un homme de cette espèce est perverti, et qu’il pèche, en se condamnant lui-même.

12Lorsque je t’enverrai Artémas ou Tychique, hâte-toi de venir me rejoindre à Nicopolis; car c’est là que j’ai résolu de passer l’hiver. 13Aie soin de pourvoir au voyage de Zénas, le docteur de la loi, et d’Apollos, en sorte que rien ne leur manque. 14Il faut que les nôtres aussi apprennent à pratiquer de bonnes oeuvres pour subvenir aux besoins pressants, afin qu’ils ne soient pas sans produire des fruits.

15Tous ceux qui sont avec moi te saluent. Salue ceux qui nous aiment dans la foi. Que la grâce soit avec vous tous!

Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;

12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!

18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!

20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur! Eprouve-moi, et connais mes pensées!

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

Jean 11.20-27

20Lorsque Marthe apprit que Jésus arrivait, elle alla au-devant de lui, tandis que Marie se tenait assise à la maison. 21Marthe dit à Jésus: Seigneur, si tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. 22Mais, maintenant même, je sais que tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. 23Jésus lui dit: Ton frère ressuscitera. 24Je sais, lui répondit Marthe, qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. 25Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; 26et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? 27Elle lui dit: Oui, Seigneur, je crois que tu es le Christ, le Fils de Dieu, qui devait venir dans le monde.

Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;

12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!
18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!

20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur! Eprouve-moi, et connais mes pensées!

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

Jean 1.35-51

35Le lendemain, Jean était encore là, avec deux de ses disciples; 36et, ayant regardé Jésus qui passait, il dit: Voilà l’Agneau de Dieu. 37Les deux disciples l’entendirent prononcer ces paroles, et ils suivirent Jésus. 38Jésus se retourna, et voyant qu’ils le suivaient, il leur dit: Que cherchez-vous? Ils lui répondirent: Rabbi ce qui signifie Maître, où demeures-tu? 39Venez, leur dit-il, et voyez. Ils allèrent, et ils virent où il demeurait; et ils restèrent auprès de lui ce jour-là. C’était environ la dixième heure. 40André, frère de Simon Pierre, était l’un des deux qui avaient entendu les paroles de Jean, et qui avaient suivi Jésus. 41Ce fut lui qui rencontra le premier son frère Simon, et il lui dit: Nous avons trouvé le Messie ce qui signifie Christ. 42Et il le conduisit vers Jésus. Jésus, l’ayant regardé, dit: Tu es Simon, fils de Jonas; tu seras appelé Céphas ce qui signifie Pierre.

43Le lendemain, Jésus voulut se rendre en Galilée, et il rencontra Philippe. Il lui dit: Suis-moi. 44Philippe était de Bethsaïda, de la ville d’André et de Pierre. 45Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit: Nous avons trouvé celui de qui Moïse a écrit dans la loi et dont les prophètes ont parlé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph. 46Nathanaël lui dit: Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon? Philippe lui répondit: Viens, et vois. 47Jésus, voyant venir à lui Nathanaël, dit de lui: Voici vraiment un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude. 48D’où me connais-tu? lui dit Nathanaël. Jésus lui répondit: Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous le figuier, je t’ai vu. 49Nathanaël répondit et lui dit: Rabbi, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d’Israël. 50Jésus lui répondit: Parce que je t’ai dit que je t’ai vu sous le figuier, tu crois; tu verras de plus grandes choses que celles-ci. 51Et il lui dit: En vérité, en vérité, vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l’homme.

Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;
12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!

18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!
20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur! Eprouve-moi, et connais mes pensées!

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

Luc 7.11-17

11Le jour suivant, Jésus alla dans une ville appelée Naïn; ses disciples et une grande foule faisaient route avec lui. 12Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville. 13Le Seigneur, l’ayant vue, fut ému de compassion pour elle, et lui dit: Ne pleure pas! 14Il s’approcha, et toucha le cercueil. Ceux qui le portaient s’arrêtèrent. Il dit: Jeune homme, je te le dis, lève-toi! 15Et le mort s’assit, et se mit à parler. Jésus le rendit à sa mère. 16Tous furent saisis de crainte, et ils glorifiaient Dieu, disant: Un grand prophète a paru parmi nous, et Dieu a visité son peuple. 17Cette parole sur Jésus se répandit dans toute la Judée et dans tout le pays d’alentour.
Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;
12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!

18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!

20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur! Eprouve-moi, et connais mes pensées!

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

Tite 3.1-15

1Rappelle-leur d’être soumis aux magistrats et aux autorités, d’obéir, d’être prêts à toute bonne œuvre, 2de ne médire de personne, d’être pacifiques, modérés, pleins de douceur envers tous les hommes.
3Car nous aussi, nous étions autrefois insensés, désobéissants, égarés, asservis à toute espèce de convoitises et de voluptés, vivant dans la méchanceté et dans l’envie, dignes d’être haïs, et nous haïssant les uns les autres. 4Mais, lorsque la bonté de Dieu notre Sauveur et son amour pour les hommes ont été manifestés, 5il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint-Esprit, 6qu’il a répandu sur nous avec abondance par Jésus-Christ notre Sauveur, 7afin que, justifiés par sa grâce, nous devenions, en espérance, héritiers de la vie éternelle. 8Cette parole est certaine, et je veux que tu affirmes ces choses, afin que ceux qui ont cru en Dieu s’appliquent à pratiquer de bonnes œuvres. Voilà ce qui est bon et utile aux hommes.

9Mais évite les discussions folles, les généalogies, les querelles, les disputes relatives à la loi; car elles sont inutiles et vaines. 10Eloigne de toi, après un premier et un second avertissement, celui qui provoque des divisions, 11sachant qu’un homme de cette espèce est perverti, et qu’il pèche, en se condamnant lui-même.

12Lorsque je t’enverrai Artémas ou Tychique, hâte-toi de venir me rejoindre à Nicopolis; car c’est là que j’ai résolu de passer l’hiver. 13Aie soin de pourvoir au voyage de Zénas, le docteur de la loi, et d’Apollos, en sorte que rien ne leur manque. 14Il faut que les nôtres aussi apprennent à pratiquer de bonnes œuvres pour subvenir aux besoins pressants, afin qu’ils ne soient pas sans produire des fruits.

15Tous ceux qui sont avec moi te saluent. Salue ceux qui nous aiment dans la foi. Que la grâce soit avec vous tous !

Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.
7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;

12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!

18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!

20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur! Eprouve-moi, et connais mes pensées !

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

1 Corinthiens 11.23-26

23Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, 24et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit: Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi. 25De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez. 26Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.

Psaume 139

1Au chef des chantres. De David. Psaume. Eternel ! tu me sondes et tu me connais,

2Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

3Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Eternel! tu la connais entièrement.

5Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face ?

8Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11Si je dis : Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;

12Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand !

18Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi !

20Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!

21Eternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi?

22Je les hais d’une parfaite haine; Ils sont pour moi des ennemis.

23Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur ! Eprouve-moi, et connais mes pensées !

24Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité!

1 Samuel 28.3-25

3 Samuel était mort ; tout Israël l’avait pleuré, et on l’avait enterré à Rama, dans sa ville. Saül avait ôté du pays ceux qui évoquaient les morts et ceux qui prédisaient l’avenir.

4 Les Philistins se rassemblèrent, et vinrent camper à Sunem ; Saül rassembla tout Israël, et ils campèrent à Guilboa.

5 A la vue du camp des Philistins, Saül fut saisi de crainte, et un violent tremblement s’empara de son cœur.

6 Saül consulta l’Éternel ; et l’Éternel ne lui répondit point, ni par des songes, ni par l’urim, ni par les prophètes.

7 Et Saül dit à ses serviteurs : Cherchez-moi une femme qui évoque les morts, et j’irai la consulter. Ses serviteurs lui dirent : Voici, à En Dor il y a une femme qui évoque les morts.

8 Alors Saül se déguisa et prit d’autres vêtements, et il partit avec deux hommes. Ils arrivèrent de nuit chez la femme. Saül lui dit : Prédis-moi l’avenir en évoquant un mort, et fais-moi monter celui que je te dirai.

9 La femme lui répondit : Voici, tu sais ce que Saül a fait, comment il a retranché du pays ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent l’avenir ; pourquoi donc tends-tu un piège à ma vie pour me faire mourir ?

10 Saül lui jura par l’Éternel, en disant : L’Éternel est vivant ! il ne t’arrivera point de mal pour cela.

11 La femme dit : Qui veux-tu que je te fasse monter ? Et il répondit : Fais-moi monter Samuel.

12 Lorsque la femme vit Samuel, elle poussa un grand cri, et elle dit à Saül : Pourquoi m’as-tu trompée ? Tu es Saül !

13 Le roi lui dit : Ne crains rien ; mais que vois-tu ? La femme dit à Saül : je vois un dieu qui monte de la terre.

14 Il lui dit : Quelle figure a-t-il ? Et elle répondit : C’est un vieillard qui monte et il est enveloppé d’un manteau. Saül comprit que c’était Samuel, et il s’inclina le visage contre terre et se prosterna.

15 Samuel dit à Saül : Pourquoi m’as-tu troublé, en me faisant monter ? Saül répondit : Je suis dans une grande détresse : les Philistins me font la guerre, et Dieu s’est retiré de moi ; il ne m’a répondu ni par les prophètes ni par des songes. Et je t’ai appelé pour que tu me fasses connaître ce que je dois faire.

16 Samuel dit : Pourquoi donc me consultes-tu, puisque l’Éternel s’est retiré de toi et qu’il est devenu ton ennemi ?

17 L’Éternel te traite comme je te l’avais annoncé de sa part ; l’Éternel a déchiré la royauté d’entre tes mains, et l’a donnée à un autre, à David.

18 Tu n’as point obéi à la voix de l’Éternel, et tu n’as point fait sentir à Amalek l’ardeur de sa colère : voilà pourquoi l’Éternel te traite aujourd’hui de cette manière.

19 Et même l’Éternel livrera Israël avec toi entre les mains des Philistins. Demain, toi et tes fils, vous serez avec moi, et l’Éternel livrera le camp d’Israël entre les mains des Philistins.

20 Aussitôt Saül tomba à terre de toute sa hauteur, et les paroles de Samuel le remplirent d’effroi ; de plus, il manquait de force, car il n’avait pris aucune nourriture de tout le jour et de toute la nuit.

21 La femme vint auprès de Saül, et, le voyant très effrayé, elle lui dit : Voici, ta servante a écouté ta voix ; j’ai exposé ma vie, en obéissant aux paroles que tu m’as dites.

22 Écoute maintenant, toi aussi, la voix de ta servante, et laisse-moi t’offrir un morceau de pain, afin que tu manges pour avoir la force de te mettre en route.

23 Mais il refusa, et dit : Je ne mangerai point. Ses serviteurs et la femme aussi le pressèrent, et il se rendit à leurs instances. Il se leva de terre, et s’assit sur le lit.

24 La femme avait chez elle un veau gras, qu’elle se hâta de tuer ; et elle prit de la farine, la pétrit, et en cuisit des pains sans levain.

25 Elle les mit devant Saül et devant ses serviteurs. Et ils mangèrent. Puis, s’étant levés, ils partirent la nuit même.

Psaume 139

1 Au chef des chantres. De David. Psaume. Éternel ! tu me sondes et tu me connais,

2 Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée ;

3 Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.

4 Car la parole n’est pas sur ma langue, Que déjà, ô Éternel ! tu la connais entièrement.

5 Tu m’entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.

6 Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.

7 Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face ?

8 Si je monte aux cieux, tu y es ; Si je me couche au séjour des morts, t’y voilà.

9 Si je prends les ailes de l’aurore, Et que j’aille habiter à l’extrémité de la mer,

10 Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

11 Si je dis : Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi ;

12 Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.

13 C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère.

14 Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.

15 Mon corps n’était point caché devant toi, Lorsque j’ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

16 Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient ; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.

17 Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables ! Que le nombre en est grand !

18 Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m’éveille, et je suis encore avec toi.

19 O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant ! Hommes de sang, éloignez-vous de moi !

20 Ils parlent de toi d’une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis !

21 Éternel, n’aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s’élèvent contre toi ?

22 Je les hais d’une parfaite haine ; Ils sont pour moi des ennemis.

23 Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon cœur ! Éprouve-moi, et connais mes pensées !

24 Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l’éternité !

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