Mercredi 19 décembre 2018 (Esaïe 29.17-24, Psaume 62)

Esaïe 29.17-24

17 Encore un peu de temps, Et le Liban se changera en verger, Et le verger sera considéré comme une forêt.
18 En ce jour-là, les sourds entendront les paroles du livre ; Et, délivrés de l’obscurité et des ténèbres, Les yeux des aveugles verront.
19 Les malheureux se réjouiront de plus en plus en l’Éternel, Et les pauvres feront du Saint d’Israël le sujet de leur allégresse.
20 Car le violent ne sera plus, le moqueur aura fini, Et tous ceux qui veillaient pour l’iniquité seront exterminés,
21 Ceux qui condamnaient les autres en justice, Tendaient des pièges à qui défendait sa cause à la porte, Et violaient par la fraude les droits de l’innocent.
22 C’est pourquoi ainsi parle l’Éternel à la maison de Jacob, Lui qui a racheté Abraham : Maintenant Jacob ne rougira plus, Maintenant son visage ne pâlira plus.
23 Car, lorsque ses enfants verront au milieu d’eux l’oeuvre de mes mains, Ils sanctifieront mon nom ; Ils sanctifieront le Saint de Jacob, Et ils craindront le Dieu d’Israël ;
24 Ceux dont l’esprit s’égarait acquerront de l’intelligence, Et ceux qui murmuraient recevront instruction.

 

Psaume 62

1 (62 : 1) Au chef des chantres. D’après Jeduthun. Psaume de David. (62 : 2) Oui, c’est en Dieu que mon âme se confie ; De lui vient mon salut.
2 (62 : 3) Oui, c’est lui qui est mon rocher et mon salut ; Ma haute retraite : je ne chancellerai guère.
3 (62 : 4) Jusqu’à quand vous jetterez-vous sur un homme, Chercherez-vous tous à l’abattre, Comme une muraille qui penche, Comme une clôture qu’on renverse ?
4 (62 : 5) Ils conspirent pour le précipiter de son poste élevé ; Ils prennent plaisir au mensonge ; Ils bénissent de leur bouche, Et ils maudissent dans leur cœur. -Pause.
5 (62 : 6) Oui, mon âme, confie-toi en Dieu ! Car de lui vient mon espérance.
6 (62 : 7) Oui, c’est lui qui est mon rocher et mon salut ; Ma haute retraite : je ne chancellerai pas.
7 (62 : 8) Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire ; Le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.
8 (62 : 9) En tout temps, peuples, confiez-vous en lui, Répandez vos cœurs en sa présence ! Dieu est notre refuge, -Pause.
9 (62 : 10) Oui, vanité, les fils de l’homme ! Mensonge, les fils de l’homme ! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu’un souffle.
10 (62 : 11) Ne vous confiez pas dans la violence, Et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine ; Quand les richesses s’accroissent, N’y attachez pas votre cœur.
11 (62 : 12) Dieu a parlé une fois ; Deux fois j’ai entendu ceci : C’est que la force est à Dieu.
12 (62 : 13) A toi aussi, Seigneur ! la bonté ; Car tu rends à chacun selon ses œuvres.

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