Mercredi 05 décembre 2018 (Esaïe 9.1-6, Psaume 126)
Esaïe 9.1-6 ;
1 (8 : 23) Mais les ténèbres ne régneront pas toujours Sur la terre où il y a maintenant des angoisses : Si les temps passés ont couvert d’opprobre Le pays de Zabulon et le pays de Nephthali, Les temps à venir couvriront de gloire La contrée voisine de la mer, au delà du Jourdain, Le territoire des Gentils.
2 (9 : 1) Le peuple qui marchait dans les ténèbres Voit une grande lumière ; Sur ceux qui habitaient le pays de l’ombre de la mort Une lumière resplendit.
3 (9 : 2) Tu rends le peuple nombreux, Tu lui accordes de grandes joies ; Il se réjouit devant toi, comme on se réjouit à la moisson, Comme on pousse des cris d’allégresse au partage du butin.
4 (9 : 3) Car le joug qui pesait sur lui, Le bâton qui frappait son dos, La verge de celui qui l’opprimait, Tu les brises, comme à la journée de Madian.
5 (9 : 4) Car toute chaussure qu’on porte dans la mêlée, Et tout vêtement guerrier roulé dans le sang, Seront livrés aux flammes, Pour être dévorés par le feu.
6 (9 : 5) Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule ; On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.
Psaume 126.
1 Cantique des degrés. Quand l’Éternel ramena les captifs de Sion, Nous étions comme ceux qui font un rêve.
2 Alors notre bouche était remplie de cris de joie, Et notre langue de chants d’allégresse ; Alors on disait parmi les nations : L’Éternel a fait pour eux de grandes choses !
3 L’Éternel a fait pour nous de grandes choses ; Nous sommes dans la joie.
4 Éternel, ramène nos captifs, Comme des ruisseaux dans le midi !
5 Ceux qui sèment avec larmes Moissonneront avec chants d’allégresse.
6 Celui qui marche en pleurant, quand il porte la semence, Revient avec allégresse, quand il porte ses gerbes.
Mots clés : Esaïe 9.1-6, Psaume 126