Mardi 13 novembre 2018 (Apocalypse 21.9-14, Psaume 125)
Apocalypse 21.9-14 ;
9 Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes remplies des sept derniers fléaux vint, et il m’adressa la parole, en disant : Viens, je te montrerai l’épouse, la femme de l’agneau.
10 Et il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne. Et il me montra la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel d’auprès de Dieu, ayant la gloire de Dieu.
11 Son éclat était semblable à celui d’une pierre très précieuse, d’une pierre de jaspe transparente comme du cristal.
12 Elle avait une grande et haute muraille. Elle avait douze portes, et sur les portes douze anges, et des noms écrits, ceux des douze tribus des fils d’Israël :
13 à l’orient trois portes, au nord trois portes, au midi trois portes, et à l’occident trois portes.
14 La muraille de la ville avait douze fondements, et sur eux les douze noms des douze apôtres de l’agneau.
Psaume 125.
1 Cantique des degrés. Ceux qui se confient en l’Éternel Sont comme la montagne de Sion : elle ne chancelle point, Elle est affermie pour toujours.
2 Des montagnes entourent Jérusalem ; Ainsi l’Éternel entoure son peuple, Dès maintenant et à jamais.
3 Car le sceptre de la méchanceté ne restera pas sur le lot des justes, Afin que les justes ne tendent pas les mains vers l’iniquité.
4 Éternel, répands tes bienfaits sur les bons Et sur ceux dont le coeur est droit !
5 Mais ceux qui s’engagent dans des voies détournées, Que l’Éternel les détruise avec ceux qui font le mal ! Que la paix soit sur Israël !
Mots clés : Apocalypse 21.9-14, Psaume 125