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Mois : juin 2022

Juges 1.1-3 & 17-21

1Après la mort de Josué, les enfants d’Israël consultèrent l’Eternel, en disant: Qui de nous montera le premier contre les Cananéens, pour les attaquer? 2L’Eternel répondit: Juda montera, voici, j’ai livré le pays entre ses mains. 3Et Juda dit à Siméon, son frère: Monte avec moi dans le pays qui m’est échu par le sort, et nous combattrons les Cananéens; j’irai aussi avec toi dans celui qui t’est tombé en partage. Et Siméon alla avec lui.

 

17Juda se mit en marche avec Siméon, son frère, et ils battirent les Cananéens qui habitaient à Tsephath; ils dévouèrent la ville par interdit, et on l’appela Horma. 18Juda s’empara encore de Gaza et de son territoire, d’Askalon et de son territoire, et d’Ekron et de son territoire. 19L’Eternel fut avec Juda; et Juda se rendit maître de la montagne, mais il ne put chasser les habitants de la plaine, parce qu’ils avaient des chars de fer. 20On donna Hébron à Caleb, comme l’avait dit Moïse; et il en chassa les trois fils d’Anak. 21Les fils de Benjamin ne chassèrent point les Jébusiens qui habitaient à Jérusalem; et les Jébusiens ont habité jusqu’à ce jour dans Jérusalem avec les fils de Benjamin.

Psaume 106.1-23

1Louez l’Eternel! Louez l’Eternel, car il est bon, Car sa miséricorde dure à toujours!

2Qui dira les hauts faits de l’Eternel? Qui publiera toute sa louange?

3Heureux ceux qui observent la loi, Qui pratiquent la justice en tout temps!

4Eternel, souviens-toi de moi dans ta bienveillance pour ton peuple! Souviens-toi de moi en lui accordant ton secours,

5Afin que je voie le bonheur de tes élus, Que je me réjouisse de la joie de ton peuple, Et que je me glorifie avec ton héritage!

6Nous avons péché comme nos pères, Nous avons commis l’iniquité, nous avons fait le mal.

7Nos pères en Egypte ne furent pas attentifs à tes miracles, Ils ne se rappelèrent pas la multitude de tes grâces, Ils furent rebelles près de la mer, près de la mer Rouge.

8Mais il les sauva à cause de son nom, Pour manifester sa puissance.

9Il menaça la mer Rouge, et elle se dessécha; Et il les fit marcher à travers les abîmes comme dans un désert.

10Il les sauva de la main de celui qui les haïssait, Il les délivra de la main de l’ennemi.

11Les eaux couvrirent leurs adversaires: Il n’en resta pas un seul.

12Et ils crurent à ses paroles, Ils chantèrent ses louanges.

13Mais ils oublièrent bientôt ses oeuvres, Ils n’attendirent pas l’exécution de ses desseins.

14Ils furent saisis de convoitise dans le désert, Et ils tentèrent Dieu dans la solitude.

15Il leur accorda ce qu’ils demandaient; Puis il envoya le dépérissement dans leur corps.

16Ils se montrèrent, dans le camp, jaloux contre Moïse, Contre Aaron, le saint de l’Eternel.

17La terre s’ouvrit et engloutit Dathan, Et elle se referma sur la troupe d’Abiram;

18Le feu embrasa leur troupe, La flamme consuma les méchants.

19Ils firent un veau en Horeb, Ils se prosternèrent devant une image de fonte,

20Ils échangèrent leur gloire Contre la figure d’un boeuf qui mange l’herbe.

21Ils oublièrent Dieu, leur sauveur, Qui avait fait de grandes choses en Egypte,

22Des miracles dans le pays de Cham, Des prodiges sur la mer Rouge.

23Et il parla de les exterminer; Mais Moïse, son élu, se tint à la brèche devant lui, Pour détourner sa fureur et l’empêcher de les détruire.

Proverbes 8.22-31

22L’Eternel m’a créée la première de ses oeuvres, Avant ses oeuvres les plus anciennes.

23J’ai été établie depuis l’éternité, Dès le commencement, avant l’origine de la terre.

24Je fus enfantée quand il n’y avait point d’abîmes, Point de sources chargées d’eaux;

25Avant que les montagnes soient affermies, Avant que les collines existent, je fus enfantée;

26Il n’avait encore fait ni la terre, ni les campagnes, Ni le premier atome de la poussière du monde.

27Lorsqu’il disposa les cieux, j’étais là; Lorsqu’il traça un cercle à la surface de l’abîme,

28Lorsqu’il fixa les nuages en haut, Et que les sources de l’abîme jaillirent avec force,

29Lorsqu’il donna une limite à la mer, Pour que les eaux n’en franchissent pas les bords, Lorsqu’il posa les fondements de la terre,

30J’étais à l’oeuvre auprès de lui, Et je faisais tous les jours ses délices, Jouant sans cesse en sa présence,

31Jouant sur le globe de sa terre, Et trouvant mon bonheur parmi les fils de l’homme.

Romains 5.1-5

1Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, 2qui nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu. 3Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l’affliction produit la persévérance, 4la persévérance la victoire dans l’épreuve, et cette victoire l’espérance. 5Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné.

Jean 6.12-15

12Lorsqu’ils furent rassasiés, il dit à ses disciples: Ramassez les morceaux qui restent, afin que rien ne se perde. 13Ils les ramassèrent donc, et ils remplirent douze paniers avec les morceaux qui restèrent des cinq pains d’orge, après que tous eurent mangé. 14Ces gens, ayant vu le miracle que Jésus avait fait, disaient: Celui-ci est vraiment le prophète qui doit venir dans le monde.

15Et Jésus, sachant qu’ils allaient venir l’enlever pour le faire roi, se retira de nouveau sur la montagne, lui seul.

Psaume 8

Louis Segond Bible

1Au chef des chantres. Sur la guitthith. Psaume de David. Eternel, notre Seigneur! Que ton nom est magnifique sur toute la terre! Ta majesté s’élève au-dessus des cieux.

2Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle Tu as fondé ta gloire, pour confondre tes adversaires, Pour imposer silence à l’ennemi et au vindicatif.

3Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées:

4Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui?

5Tu l’as fait de peu inférieur à Dieu, Et tu l’as couronné de gloire et de magnificence.

6Tu lui as donné la domination sur les oeuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds,

7Les brebis comme les boeufs, Et les animaux des champs,

8Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers.

9Eternel, notre Seigneur! Que ton nom est magnifique sur toute la terre!

Cantique des Cantiques 7.11 – 8.14

11Viens, mon bien-aimé, sortons dans les champs, Demeurons dans les villages!

12Dès le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s’ouvre, Si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon amour.

13Les mandragores répandent leur parfum, Et nous avons à nos portes tous les meilleurs fruits, Nouveaux et anciens: Mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi.

 

1Oh! Que n’es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère! Je te rencontrerais dehors, je t’embrasserais, Et l’on ne me mépriserait pas.

2Je veux te conduire, t’amener à la maison de ma mère; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades.

3Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m’embrasse! –

4Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille. –

5Qui est celle qui monte du désert, Appuyée sur son bien-aimé? -Je t’ai réveillée sous le pommier; Là ta mère t’a enfantée, C’est là qu’elle t’a enfantée, qu’elle t’a donné le jour. –

6Mets-moi comme un sceau sur ton coeur, Comme un sceau sur ton bras; Car l’amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l’Eternel.

7Les grandes eaux ne peuvent éteindre l’amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l’amour, Il ne s’attirerait que le mépris.

8Nous avons une petite soeur, Qui n’a point encore de mamelles; Que ferons-nous de notre soeur, Le jour où on la recherchera?

9Si elle est un mur, Nous bâtirons sur elle des créneaux d’argent; Si elle est une porte, Nous la fermerons avec une planche de cèdre. –

10Je suis un mur, Et mes seins sont comme des tours; J’ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix.

11Salomon avait une vigne à Baal-Hamon; Il remit la vigne à des gardiens; Chacun apportait pour son fruit mille sicles d’argent.

12Ma vigne, qui est à moi, je la garde. A toi, Salomon, les mille sicles, Et deux cents à ceux qui gardent le fruit! –

13Habitante des jardins! Des amis prêtent l’oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre! –

14Fuis, mon bien-aimé! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates!

Psaume 93

1L’Eternel règne, il est revêtu de majesté, L’Eternel est revêtu, il est ceint de force. Aussi le monde est ferme, il ne chancelle pas.

2Ton trône est établi dès les temps anciens; Tu existes de toute éternité.

3Les fleuves élèvent, ô Eternel! Les fleuves élèvent leur voix, Les fleuves élèvent leurs ondes retentissantes.

4Plus que la voix des grandes, des puissantes eaux, Des flots impétueux de la mer, L’Eternel est puissant dans les lieux célestes.

5Tes témoignages sont entièrement véritables; La sainteté convient à ta maison, O Eternel! pour toute la durée des temps.

Cantique des Cantiques 6.1 – 7.10

1Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes? De quel côté ton bien-aimé s’est-il dirigé? Nous le chercherons avec toi.

2Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d’aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis.

3Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. –

4Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, Agréable comme Jérusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières.

5Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad.

6Tes dents sont comme un troupeau de brebis, Qui remontent de l’abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d’elles n’est stérile.

7Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile…

8Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, Et des jeunes filles sans nombre.

9Une seule est ma colombe, ma parfaite; Elle est l’unique de sa mère, La préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse; Les reines et les concubines aussi, et elles la louent. –

10Qui est celle qui apparaît comme l’aurore, Belle comme la lune, pure comme le soleil, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières? –

11Je suis descendue au jardin des noyers, Pour voir la verdure de la vallée, Pour voir si la vigne pousse, Si les grenadiers fleurissent.

12Je ne sais, mais mon désir m’a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. –

13Reviens, reviens, Sulamithe! Reviens, reviens, afin que nous te regardions. -Qu’avez-vous à regarder la Sulamithe Comme une danse de deux choeurs?

 

1Que tes pieds sont beaux dans ta chaussure, fille de prince! Les contours de ta hanche sont comme des colliers, Oeuvre des mains d’un artiste.

2Ton sein est une coupe arrondie, Où le vin parfumé ne manque pas; Ton corps est un tas de froment, Entouré de lis.

3Tes deux seins sont comme deux faons, Comme les jumeaux d’une gazelle.

4Ton cou est comme une tour d’ivoire; Tes yeux sont comme les étangs de Hesbon, Près de la porte de Bath-Rabbim; Ton nez est comme la tour du Liban, Qui regarde du côté de Damas.

5Ta tête est élevée comme le Carmel, Et les cheveux de ta tête sont comme la pourpre; Un roi est enchaîné par des boucles!…

6Que tu es belle, que tu es agréable, O mon amour, au milieu des délices!

7Ta taille ressemble au palmier, Et tes seins à des grappes.

8Je me dis: Je monterai sur le palmier, J’en saisirai les rameaux! Que tes seins soient comme les grappes de la vigne, Le parfum de ton souffle comme celui des pommes,

9Et ta bouche comme un vin excellent,… -Qui coule aisément pour mon bien-aimé, Et glisse sur les lèvres de ceux qui s’endorment!

10Je suis à mon bien-aimé, Et ses désirs se portent vers moi.

Psaume 128

1Cantique des degrés. Heureux tout homme qui craint l’Eternel, Qui marche dans ses voies!

2Tu jouis alors du travail de tes mains, Tu es heureux, tu prospères.

3Ta femme est comme une vigne féconde Dans l’intérieur de ta maison; Tes fils sont comme des plants d’olivier, Autour de ta table.

4C’est ainsi qu’est béni L’homme qui craint l’Eternel.

5L’Eternel te bénira de Sion, Et tu verras le bonheur de Jérusalem Tous les jours de ta vie;

6Tu verras les fils de tes fils. Que la paix soit sur Israël!

Cantique des Cantiques 5.2-16

2J’étais endormie, mais mon coeur veillait… C’est la voix de mon bien-aimé, qui frappe: -Ouvre-moi, ma soeur, mon amie, Ma colombe, ma parfaite! Car ma tête est couverte de rosée, Mes boucles sont pleines des gouttes de la nuit. –

3J’ai ôté ma tunique; comment la remettrais-je? J’ai lavé mes pieds; comment les salirais-je?

4Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, Et mes entrailles se sont émues pour lui.

5Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé; Et de mes mains a dégoutté la myrrhe, De mes doigts, la myrrhe répandue Sur la poignée du verrou.

6J’ai ouvert à mon bien-aimé; Mais mon bien-aimé s’en était allé, il avait disparu. J’étais hors de moi, quand il me parlait. Je l’ai cherché, et je ne l’ai point trouvé; Je l’ai appelé, et il ne m’a point répondu.

7Les gardes qui font la ronde dans la ville m’ont rencontrée; Ils m’ont frappée, ils m’ont blessée; Ils m’ont enlevé mon voile, les gardes des murs.

8Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Si vous trouvez mon bien-aimé, Que lui direz-vous?… Que je suis malade d’amour. –

9Qu’a ton bien-aimé de plus qu’un autre, O la plus belle des femmes? Qu’a ton bien-aimé de plus qu’un autre, Pour que tu nous conjures ainsi? –

10Mon bien-aimé est blanc et vermeil; Il se distingue entre dix mille.

11Sa tête est de l’or pur; Ses boucles sont flottantes, Noires comme le corbeau.

12Ses yeux sont comme des colombes au bord des ruisseaux, Se baignant dans le lait, Reposant au sein de l’abondance.

13Ses joues sont comme un parterre d’aromates, Une couche de plantes odorantes; Ses lèvres sont des lis, D’où découle la myrrhe.

14Ses mains sont des anneaux d’or, Garnis de chrysolithes; Son corps est de l’ivoire poli, Couvert de saphirs;

15Ses jambes sont des colonnes de marbre blanc, Posées sur des bases d’or pur. Son aspect est comme le Liban, Distingué comme les cèdres.

16Son palais n’est que douceur, Et toute sa personne est pleine de charme. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, Filles de Jérusalem! –

Psaume 34

1De David. Lorsqu’il contrefit l’insensé en présence d’Abimélec, et qu’il s’en alla chassé par lui. Je bénirai l’Eternel en tout temps; Sa louange sera toujours dans ma bouche.

2Que mon âme se glorifie en l’Eternel! Que les malheureux écoutent et se réjouissent!

3Exaltez avec moi l’Eternel! Célébrons tous son nom!

4J’ai cherché l’Eternel, et il m’a répondu; Il m’a délivré de toutes mes frayeurs.

5Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, Et le visage ne se couvre pas de honte.

6Quand un malheureux crie, l’Eternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses.

7L’ange de l’Eternel campe autour de ceux qui le craignent, Et il les arrache au danger.

8Sentez et voyez combien l’Eternel est bon! Heureux l’homme qui cherche en lui son refuge!

9Craignez l’Eternel, vous ses saints! Car rien ne manque à ceux qui le craignent.

10Les lionceaux éprouvent la disette et la faim, Mais ceux qui cherchent l’Eternel ne sont privés d’aucun bien.

11Venez, mes fils, écoutez-moi! Je vous enseignerai la crainte de l’Eternel.

12Quel est l’homme qui aime la vie, Qui désire la prolonger pour jouir du bonheur?

13Préserve ta langue du mal, Et tes lèvres des paroles trompeuses;

14Eloigne-toi du mal, et fais le bien; Recherche et poursuis la paix.

15Les yeux de l’Eternel sont sur les justes, Et ses oreilles sont attentives à leurs cris.

16L’Eternel tourne sa face contre les méchants, Pour retrancher de la terre leur souvenir.

17Quand les justes crient, l’Eternel entend, Et il les délivre de toutes leurs détresses;

18L’Eternel est près de ceux qui ont le coeur brisé, Et il sauve ceux qui ont l’esprit dans l’abattement.

19Le malheur atteint souvent le juste, Mais l’Eternel l’en délivre toujours.

20Il garde tous ses os, Aucun d’eux n’est brisé.

21Le malheur tue le méchant, Et les ennemis du juste sont châtiés.

22L’Eternel délivre l’âme de ses serviteurs, Et tous ceux qui l’ont pour refuge échappent au châtiment.

Cantique des Cantiques 4.1 – 5.1

1Que tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes, Derrière ton voile. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de la montagne de Galaad.

2Tes dents sont comme un troupeau de brebis tondues, Qui remontent de l’abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d’elles n’est stérile.

3Tes lèvres sont comme un fil cramoisi, Et ta bouche est charmante; Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile.

4Ton cou est comme la tour de David, Bâtie pour être un arsenal; Mille boucliers y sont suspendus, Tous les boucliers des héros.

5Tes deux seins sont comme deux faons, Comme les jumeaux d’une gazelle, Qui paissent au milieu des lis.

6Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, J’irai à la montagne de la myrrhe Et à la colline de l’encens.

7Tu es toute belle, mon amie, Et il n’y a point en toi de défaut.

8Viens avec moi du Liban, ma fiancée, Viens avec moi du Liban! Regarde du sommet de l’Amana, Du sommet du Senir et de l’Hermon, Des tanières des lions, Des montagnes des léopards.

9Tu me ravis le coeur, ma soeur, ma fiancée, Tu me ravis le coeur par l’un de tes regards, Par l’un des colliers de ton cou.

10Que de charmes dans ton amour, ma soeur, ma fiancée! Comme ton amour vaut mieux que le vin, Et combien tes parfums sont plus suaves que tous les aromates!

11Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée; Il y a sous ta langue du miel et du lait, Et l’odeur de tes vêtements est comme l’odeur du Liban.

12Tu es un jardin fermé, ma soeur, ma fiancée, Une source fermée, une fontaine scellée.

13Tes jets forment un jardin, où sont des grenadiers, Avec les fruits les plus excellents, Les troënes avec le nard;

14Le nard et le safran, le roseau aromatique et le cinnamome, Avec tous les arbres qui donnent l’encens; La myrrhe et l’aloès, Avec tous les principaux aromates;

15Une fontaine des jardins, Une source d’eaux vives, Des ruisseaux du Liban.

16Lève-toi, aquilon! viens, autan! Soufflez sur mon jardin, et que les parfums s’en exhalent! -Que mon bien-aimé entre dans son jardin, Et qu’il mange de ses fruits excellents! –

 

1J’entre dans mon jardin, ma soeur, ma fiancée; Je cueille ma myrrhe avec mes aromates, Je mange mon rayon de miel avec mon miel, Je bois mon vin avec mon lait… -Mangez, amis, buvez, enivrez-vous d’amour! –

Psaume 27

1De David. L’Eternel est ma lumière et mon salut: De qui aurais-je crainte? L’Eternel est le soutien de ma vie: De qui aurais-je peur?

2Quand des méchants s’avancent contre moi, Pour dévorer ma chair, Ce sont mes persécuteurs et mes ennemis Qui chancellent et tombent.

3Si une armée se campait contre moi, Mon cœur n’aurait aucune crainte; Si une guerre s’élevait contre moi, Je serais malgré cela plein de confiance.

4Je demande à l’Eternel une chose, que je désire ardemment: Je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l’Eternel, Pour contempler la magnificence de l’Eternel Et pour admirer son temple.

5Car il me protégera dans son tabernacle au jour du malheur, Il me cachera sous l’abri de sa tente; Il m’élèvera sur un rocher.

6Et déjà ma tête s’élève sur mes ennemis qui m’entourent; J’offrirai des sacrifices dans sa tente, au son de la trompette; Je chanterai, je célébrerai l’Eternel.

7Eternel! écoute ma voix, je t’invoque: Aie pitié de moi et exauce-moi!

8Mon cœur dit de ta part: Cherchez ma face! Je cherche ta face, ô Eternel!

9Ne me cache point ta face, Ne repousse pas avec colère ton serviteur! Tu es mon secours, ne me laisse pas, ne m’abandonne pas, Dieu de mon salut!

10Car mon père et ma mère m’abandonnent, Mais l’Eternel me recueillera.

11Eternel! enseigne-moi ta voie, Conduis-moi dans le sentier de la droiture, A cause de mes ennemis.

12Ne me livre pas au bon plaisir de mes adversaires, Car il s’élève contre moi de faux témoins Et des gens qui ne respirent que la violence.

13Oh! si je n’étais pas sûr de voir la bonté de l’Eternel Sur la terre des vivants!…

14Espère en l’Eternel! Fortifie-toi et que ton cœur s’affermisse! Espère en l’Eternel!

Cantique des Cantiques 2.8 – 3.11

8C’est la voix de mon bien-aimé! Le voici, il vient, Sautant sur les montagnes, Bondissant sur les collines.

9Mon bien-aimé est semblable à la gazelle Ou au faon des biches. Le voici, il est derrière notre mur, Il regarde par la fenêtre, Il regarde par le treillis.

10Mon bien-aimé parle et me dit: Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!

11Car voici, l’hiver est passé; La pluie a cessé, elle s’en est allée.

12Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.

13Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens!

14Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées, Fais-moi voir ta figure, Fais-moi entendre ta voix; Car ta voix est douce, et ta figure est agréable.

15Prenez-nous les renards, Les petits renards qui ravagent les vignes; Car nos vignes sont en fleur.

16Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui; Il fait paître son troupeau parmi les lis.

17Avant que le jour se rafraîchisse, Et que les ombres fuient, Reviens!… sois semblable, mon bien-aimé, A la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes qui nous séparent.

 

1Sur ma couche, pendant les nuits, J’ai cherché celui que mon coeur aime; Je l’ai cherché, et je ne l’ai point trouvé…

2Je me lèverai, et je ferai le tour de la ville, Dans les rues et sur les places; Je chercherai celui que mon coeur aime… Je l’ai cherché, et je ne l’ai point trouvé.

3Les gardes qui font la ronde dans la ville m’ont rencontrée: Avez-vous vu celui que mon coeur aime?

4A peine les avais-je passés, Que j’ai trouvé celui que mon coeur aime; Je l’ai saisi, et je ne l’ai point lâché Jusqu’à ce que je l’aie amené dans la maison de ma mère, Dans la chambre de celle qui m’a conçue. –

5Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille. –

6Qui est celle qui monte du désert, Comme des colonnes de fumée, Au milieu des vapeurs de myrrhe et d’encens Et de tous les aromates des marchands? –

7Voici la litière de Salomon, Et autour d’elle soixante vaillants hommes, Des plus vaillants d’Israël.

8Tous sont armés de l’épée, Sont exercés au combat; Chacun porte l’épée sur sa hanche, En vue des alarmes nocturnes.

9Le roi Salomon s’est fait une litière De bois du Liban.

10Il en a fait les colonnes d’argent, Le dossier d’or, Le siège de pourpre; Au milieu est une broderie, oeuvre d’amour Des filles de Jérusalem.

11Sortez, filles de Sion, regardez Le roi Salomon, Avec la couronne dont sa mère l’a couronné Le jour de ses fiançailles, Le jour de la joie de son coeur. –

Psaume 84

1Au chef des chantres. Sur la guitthith. Des fils de Koré. Psaume. Que tes demeures sont aimables, Eternel des armées!

2Mon âme soupire et languit après les parvis de l’Eternel, Mon coeur et ma chair poussent des cris vers le Dieu vivant.

3Le passereau même trouve une maison, Et l’hirondelle un nid où elle dépose ses petits… Tes autels, Eternel des armées! Mon roi et mon Dieu!

4Heureux ceux qui habitent ta maison! Ils peuvent te célébrer encore. Pause.

5Heureux ceux qui placent en toi leur appui! Ils trouvent dans leur coeur des chemins tout tracés.

6Lorsqu’ils traversent la vallée de Baca, Ils la transforment en un lieu plein de sources, Et la pluie la couvre aussi de bénédictions.

7Leur force augmente pendant la marche, Et ils se présentent devant Dieu à Sion.

8Eternel, Dieu des armées, écoute ma prière! Prête l’oreille, Dieu de Jacob! Pause.

9Toi qui es notre bouclier, vois, ô Dieu! Et regarde la face de ton oint!

10Mieux vaut un jour dans tes parvis que mille ailleurs; Je préfère me tenir sur le seuil de la maison de mon Dieu, Plutôt que d’habiter sous les tentes de la méchanceté.

11Car l’Eternel Dieu est un soleil et un bouclier, L’Eternel donne la grâce et la gloire, Il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans l’intégrité.

12Eternel des armées! Heureux l’homme qui se confie en toi!

Cantique des Cantiques 1.1 – 2.7

1Cantique des cantiques, de Salomon.

2Qu’il me baise des baisers de sa bouche! Car ton amour vaut mieux que le vin,

3Tes parfums ont une odeur suave; Ton nom est un parfum qui se répand; C’est pourquoi les jeunes filles t’aiment.

4Entraîne-moi après toi! Nous courrons! Le roi m’introduit dans ses appartements… Nous nous égaierons, nous nous réjouirons à cause de toi; Nous célébrerons ton amour plus que le vin. C’est avec raison que l’on t’aime.

5Je suis noire, mais je suis belle, filles de Jérusalem, Comme les tentes de Kédar, comme les pavillons de Salomon.

6Ne prenez pas garde à mon teint noir: C’est le soleil qui m’a brûlée. Les fils de ma mère se sont irrités contre moi, Ils m’ont faite gardienne des vignes. Ma vigne, à moi, je ne l’ai pas gardée.

7Dis-moi, ô toi que mon coeur aime, Où tu fais paître tes brebis, Où tu les fais reposer à midi; Car pourquoi serais-je comme une égarée Près des troupeaux de tes compagnons? –

8Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes, Sors sur les traces des brebis, Et fais paître tes chevreaux Près des demeures des bergers. –

9A ma jument qu’on attelle aux chars de Pharaon Je te compare, ô mon amie.

10Tes joues sont belles au milieu des colliers, Ton cou est beau au milieu des rangées de perles.

11Nous te ferons des colliers d’or, Avec des points d’argent. –

12Tandis que le roi est dans son entourage, Mon nard exhale son parfum.

13Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe, Qui repose entre mes seins.

14Mon bien-aimé est pour moi une grappe de troëne Des vignes d’En-Guédi. –

15Que tu es belle, mon amie, que tu es belle! Tes yeux sont des colombes. –

16Que tu es beau, mon bien-aimé, que tu es aimable! Notre lit, c’est la verdure. –

17Les solives de nos maisons sont des cèdres, Nos lambris sont des cyprès. –

 

1Je suis un narcisse de Saron, Un lis des vallées. –

2Comme un lis au milieu des épines, Telle est mon amie parmi les jeunes filles. –

3Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt, Tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes. J’ai désiré m’asseoir à son ombre, Et son fruit est doux à mon palais.

4Il m’a fait entrer dans la maison du vin; Et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour.

5Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins, Fortifiez-moi avec des pommes; Car je suis malade d’amour.

6Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m’embrasse! –

7Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Par les gazelles et les biches des champs, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour, Avant qu’elle le veuille. –

Psaume 81

1Au chef des chantres. Sur la guitthith. D’Asaph. Chantez avec allégresse à Dieu, notre force! Poussez des cris de joie vers le Dieu de Jacob!

2Entonnez des cantiques, faites résonner le tambourin, La harpe mélodieuse et le luth!
3Sonnez de la trompette à la nouvelle lune, A la pleine lune, au jour de notre fête!

4Car c’est une loi pour Israël, Une ordonnance du Dieu de Jacob.

5Il en fit un statut pour Joseph, Quand il marcha contre le pays d’Egypte… J’entends une voix qui m’est inconnue:

6J’ai déchargé son épaule du fardeau, Et ses mains ont lâché la corbeille.

7Tu as crié dans la détresse, et je t’ai délivré; Je t’ai répondu dans la retraite du tonnerre; Je t’ai éprouvé près des eaux de Meriba. Pause.

8Ecoute, mon peuple! et je t’avertirai; Israël, puisses-tu m’écouter!

9Qu’il n’y ait au milieu de toi point de dieu étranger! Ne te prosterne pas devant des dieux étrangers!

10Je suis l’Eternel, ton Dieu, qui t’ai fait monter du pays d’Egypte; Ouvre ta bouche, et je la remplirai.

11Mais mon peuple n’a point écouté ma voix, Israël ne m’a point obéi.

12Alors je les ai livrés aux penchants de leur cœur, Et ils ont suivi leurs propres conseils.
13Oh! si mon peuple m’écoutait, Si Israël marchait dans mes voies!

14En un instant je confondrais leurs ennemis, Je tournerais ma main contre leurs adversaires;
15Ceux qui haïssent l’Eternel le flatteraient, Et le bonheur d’Israël durerait toujours;

16Je le nourrirais du meilleur froment, Et je le rassasierais du miel du rocher.

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